lundi 26 juillet 2010

Accident de parcours

M... !!!"

Je suis vraiment désolé :
Blogger a fait disparaître
la mise en page classique
d'« Exil intérieur » !
Impossible de le retrouver !

27 commentaires:

Beo a dit…

Bizarre..... moi qui n'ose pas modifier le mien de blog, malgré de soi disant outils faciles à utiliser maintenant....

Alcib a dit…

Béo : Je suis vraiment dégoûté !
J'ai voulu voir quelles étaient les nouvelles présentations mais, avant de changer quoi que ce soit, j'avais fait la copie de l'ancienne. Or, quand j'ai voulu revenir à la version classique, ce n'était plus possible : les « codes XML » n'étaient plus valides ».
J'ai tous perdu mes liens, les horloges, la météo et... dans leur version si simple à utiliser, je ne vois pas comment ajouter ces liens et ces « gadgets » ! Il faudra sans doute que je passe trois jours pour obtenir, au bout du compte, une présentation misérable.
C'est comme si on m'avait dit : « Si vous n'êtes pas satisfait de la nouvelle version, vous n'avez qu'à recopier les codes de l'ancienne ». Or c'est comme si l'ancienne version était en français alors que dans la nouvelle version il faut écrire en chinois : les deux ne se comprennent plus.
Nouvelle version plus facile ? Si la nouvelle version est plus facile, pour les nuls, c'est que le résultat est absolument NUL !

Beo a dit…

Il t'es arrivé exactement ce que je crains et en même temps: j'ai plein d'amis qui ont réussi.

Prends le temps tranquillement de te refaire une décoration comme tu l'aime, relax :-D

Lux a dit…

Cher Alcib,
Ô combien de sueurs et de malheurs l'informatique et les bébelles WEB m'ont fait vivre! Je déteste la modernité à piton.
Vive les papiers, les plumes et même les timbres !!!
Je peux comprendre ta frustration car c'est vrai que ta mise en page avait «de la gueule». Si ça peut te consoler, j'ai toujours été plus touché par le contenu de tes textes que par l'apparence de ta page. Et je suis sûr de ne pas être seul dans ce cas.
Cela étant dit, tes horloges et la météo, j'aimais beaucoup... Ça me faisait rêver à l'Europe.
Je te souhaite bonne chance et de la lumière, si tu veux sortir des ténèbres et rétablir la version antérieure.
À suivre
Lux

Alcib a dit…

Béo : J'avais en effet entendu ce genre d'histoire d'horreur. Mais je croyais avoir pris toutes les précautions nécessaires. J'avais plusieurs fois copié le modèle de mon blogue afin de conserver les modifications apportées... Mais quand Blogger (ou la programmation information) décide qu'il y a un code manquant ou de trop...

Alcib a dit…

Lux : Je te remercie du commentaire et des compliments. Je ne trouvais pas particulièrement excitante la mise en page, mais pour des raisons sentimentales, je ne voulais pas la modifier radicalement. Je ne voulais surtout pas perdre ce que j'avais eu tant de mal à installer.

Je crois que ce blogue est un mélange : certains articles mettent l'accent sur le texte, d'autres sur l'image et enfin, un certain nombre sur l'union du texte et de l'image.
Alexander aimait le texte et les images. Il aimait, je crois, que tout cela, même si certains articles sont plutôt sérieux, ne soit pas trop prétentieux.

Un journaliste français, animateur de radio, m'avait écrit (dans un courriel) que « malgré une présentation assez sévère », il aimait le contenu de ce blogue.

J'ai réussi, en recopiant les codes d'un autre blogue, à retrouver le modèle que j'avais adopté il y a quelques années. Maintenant, si tout va bien, il ne me restera qu'à rajouter graduellement les éléments disparus... si je les retrouve.

Alcib a dit…

Le papier, la plume, oui, certes. J'en ai souvent la nostalgie. Je veux y revenir à l'occasion.
Mais pour être lu et le savoir, c'est plus difficile. D'autant plus que la plupart des Québécois (et pas seulement des Québécois) que je connais sont heureux de recevoir du courrier, mais sont peu enclins à rendre la politesse.
Combien de fois ai-je envoyé par la poste des voeux d'anniversaire, par exemple, sans même avoir jamais su s'ils avaient été reçus :o(

Beo a dit…

Ah! Voilà qui est mieux, on se reconnaît un peu plus.

Alcib a dit…

Ce sera beaucoup plus long et difficile que je le pensais. Cette version n'accepte plus les codes que j'utilisais dans l'autre ! Il faudra que je réapprenne comment ajouter des éléments nouveaux, ne serait-ce que pour insérer ce que j'avais dans l'autre version !!! :o(

V à l'Ouest a dit…

Positivons: prends cette mésaventure comme l'occasion rêvée de rafraîchir les peintures de la maison.
Et puis, peu importe l'emballage, ce qui compte c'est le cadeau qu'il y a à l'intérieur.

Alcib a dit…

V à l'Ouest : Tu as raison : il y avait un moment que je voulais rafraîchir les peintures, mais je voulais le faire lorsque je serais prêt et non parce qu'un dégât m'y oblige.
Quand les murs, subitement, ne ressemblent plus à ceux où l'on a vécu depuis des années, c'est déroutant. On ne sent plus chez soi et, dès lors, on se sent moins soi-même... le temps de s'adapter à cette nouvelle réalité.

Je regrette mes horloges, ma météo, qui, comme Lux le mentionne, me donnaient le sentiment d'être en sympathie avec des pays, des villes que j'aime parce qu'y vivent des gens que j'aime. J'essaierai de retrouver mes horloges ou d'en installer d'autres... Des amis me disaient consulter l'heure sur l'une ou l'autre de mes horloges ; elles avaient donc leur utilité. Et, avant d'écrire en Angleterre, par exemple, j'aime bien vérifier le temps qu'il y fait.

Sylvia a dit…

Tout à fait d'accord avec V à l'Ouest, c'est le contenu qui compte. Mais j'ajouterais aussi, surtout son auteur parce que c'est lui qu'on vient lire.

Alcib a dit…

Sylvia : Je vous remercie infiniment de ce commentaire. L'auteur boîteux que je suis n'oublie pas que vous avez écrit aussi de très belles pages... qui semblent attendre la suite depuis un long moment.

Alcib a dit…

Et pour ne pas rester sur le treizième commentaire, j'ajoute celui-ci. Suis-je superstitieux ? Je ne le crois pas. Je dirais cependant, comme Cocteau : « Je ne suis pas superstitieux, mais j'agis comme si je l'étais. »
Le chiffre 13 ne me fait pas peur, cependant.

Anonyme a dit…

Alcib,
La mise en page est déjà très bien reconstituée,avec le fidèle Héphaistion.
Tes choix sont toujours emprunts
d'une grande finesse,je suis persuadé que tu vas retrouver tes
horloges.
Chaleureusement
Eliot

Sylvia a dit…

Je suis née un 13. Et, pour les superstitieux et ceux qui agissent tout comme, j'ajouterai qu'heureusement ce n'était pas un vendredi... :-)

Alcib a dit…

Eliot : Je te remercie. Cette mésaventure m'aura finalement permis de découvrir de nouvelles possibilités. Au fond, je ne suis pas trop mécontent d'avoir été forcé de faire autrement.
Alexander n'a pas besoin d'horloge ; chez moi, le Big Ben m'indique l'heure toutes les 15 minutes.
Je veux tout de même les retrouver mais je n'ai pas encore cherché. Tout cela prend du temps, finalement. Et pendant je refais la décoration... je n'écris pas.

Je pense à toi, tu sais. Et je peux sentir ce que tu ressens. Comme c'est dur, de grandir, parfois ! Je te souhaite du courage et, si possible, de la sérénité.
Déjà, de retrouver Safir devrait t'apporter beaucoup de paix.

Alcib a dit…

Sylvia : Je ne sais pourquoi, mais j'ai l'impression que ce 13 était en octobre ;o)
Je n'ai pas peur du vendredi non plus, pas davantage du vendredi 13.

Anonyme a dit…

Oui,tu as entièrement raison,il n'y a qu'avec Safir que je me sens en paix,que je me sens vivant.
Nous allons retrouver notre rythme
ensemble.
Les paperasseries,les formalités attendront le mois de septembre
surtout que je n'y comprends rien
et que j'ai vraiment besoin de prendre du recul pour pouvoir prendre des décisions.
Quoi qu'il en soit merci encore pour ta gentillesse.
Je n'ai aucun doutes quant au fait que tu puisses ressentir mon état de désolation actuel.
Alcib ,reçois toute mon affection.
Eliot

Alcib a dit…

Eliot : Je suis de plus en plus fasciné par les chevaux ; j'essaie de les connaître un peu.
Alexander disait souvent que jamais un animal ne lui avait fait de peine, sauf qund il partait...
Puisque je n'ai pas de place dans l'appartement pour mettre un cheval, je suis en train de chercher un chiot Bulldog ;o)
Je ne suis pas encore prêt mais... je me renseigne. Certaines photos sont si touchantes : je voudrais pouvoir bercer le chiot dans mes bras immédiatement.

Je ne sais plus trouver les mots pour dire cette douleur que tu dois ressentir. Sache toutefois que mes pensées les plus chaleureuses sont avec toi.
Un gros câlin à Safir pour moi.

Beo a dit…

Il ne manque que les horloges, bravo!

Alcib a dit…

Et la météo...

mathieu.delest a dit…

Bah, il ne pleut jamais chez toi, et tu es là, c'est l'essentiel :)

Alcib a dit…

Mathieu : J'ai eu envie de répondre, spontanément, qu'« il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville... » Ce sera sûrement très vrai dans quelques minutes : j'hésite à regarder le film de Visconti « Mort à Venise », qu'Alexander a regardé pour la N-ième fois en avril 2008, en attendant que je réponde à son courriel... Je n'ai pas regardé le film depuis. Il me suffit de penser à ce moment où Alexander attendait presque en pleurant que je répondre au très gentil message qu'il m'avait envoyé plus tôt, pour que l'orage se prépare en moi...
C'est vrai qu'il a fait très beau tout l'été à Montréal. Un orage se prépare en ce moment, justement ; mais demain et les jours prochains, il fera très beau.

Mathieu Delest se prépare sans doute à se rendre à l'Ouest pour ses vacances, ou plutôt vers la Baltique, là où les naïades ne causent pas trop de distractions...

Alcib a dit…

En fait, je consulte la météo,pour savoir s'il fait vraiment 30 degrés ou si, avec le facteur humidex, la température extérieure ressentie n'est pas plutôt de 40 degrés Celsius ou plus !

Anonyme a dit…

Raté, je file vers la Colombie, pays magnifique s'il en est. Les FARC y ont chassé les touristes.
J'espère bien en revenir, sans avoir à remplacer l'adjectif "magnifique" par "captivant" !

Alcib a dit…

Mathieu (car j'en déduis que cet anonyme, c'est toi) : Il faut, avant de partir, demander des conseils de survie à Ingrid Betencourt car ce serait payer chèrement la Légion d'honneur que d'y passer dix ans. Sois prévoyant : apporte de la lecture et, si jamais les amis y étaient plus captivants que les livres, exige d'avoir accès à Internet.
Bon voyage et, surtout, bonnes vacances.
Reviens... vite.