mardi 22 mars 2016

Je suis Bruxellois



De tout cœur avec les Bruxellois, les Belges, et tous ceux qui sont touchés par les attentats terroristes de ce matin dans le métro et à l'aéroport de Bruxelles.

4 commentaires:

patquébec a dit…

Ho mince, en lisant le dernier billet sur Rupert je viens de me rendre compte que je n'avais pas lu ce billet-ci !
Merci Alcib !! :)
Je trouve tous ces petits mots glissés un peu partout sur la toile toujours touchants. J'aime l'idée que tous ces gens partout dans le monde avaient cette petite pensée pour nous. Et tu ne pouvais qu'en faire partie, évidemment!

Alcib a dit…

Patquébec : Merci à toi.
J'espère que tu ne me croiras pas si je dis que je n'ai écrit ce billet que pour te donner l'occasion d'écrire un commentaire :o)

Non, sérieusement : comment ne pas se sentir touché, visé même par ces barbares qui s'en prennent à tout ce qui représente la civilisation ! Comment, dans ces circonstances, ne pas se sentir solidaires de ceux qui subissent ces atrocités du seul fait d'appartenir à notre civilisation !

En effet, ce doit être touchant de lire ces petits mots de sympathie et de solidarité, surtout lorsqu'il en vient de partout. Cela démontre qu'en dépit de toutes les différences, les divergences, les façons de manger ses frites, il ne faut pas gratter très profondément pour se rendre compte que nous sommes, au fond, à peu près tous semblables et que nous appartenons à la grande famille des humains, et que les horreurs qui sont perpétrées envers les uns peuvent un jour nous atteindre de plus près, géographiquement et physiquement.

Les pâquerettes sont-elles sorties en Belgique ? Pas chez nous, en tout cas ! Je pourrais encore écrire ce billet d'avril 2008 : « Où sont les pâquerettes ? »

patquébec a dit…

Je ne sais pas, je n'ai pas encore vu les pâquerettes mais les arbres sont en fleurs en tout cas :)

Alcib a dit…

Non seulement il n'y a pas encore de pâquerettes à Montréal, mais il n'y a sur les arbres ni fleurs ni même de feuilles ! Les bourgeons semblent vouloir timidement mettre le nez dehors... Il y a du soleil, mais il fait 3 degrés ; je comprends l'hésitation de la nature fragile.
Mais, honnêtement, je préfère ces températures fraîches à la canicule estivale.