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mardi 7 février 2006
Sur des rameaux trop frêles...
« Soyez comme l'oiseau, posé pour un instant Sur des rameaux trop frêles, Qui sent plier la branche et qui chante pourtant, Sachant qu'il a des ailes ! » Victor Hugo
Tu as raison, Béo ; et aussi que nous avons habituellement en nous les ressources nécessaires pour nous tirer d'affaire, quelle que soit la situation... Parfois, comme le dirait Henri Laborit, « Le salut [est] dans la fuite ». Mais cela me fait penser aussi à la nécessité de chanter, à « vivre poétiquement », comme disait Edgar Morin. Et comme l'écrivait hier notre collègue Samandtdi, de « Vie commune », s'inspirant d'un truand amateur de camembert ;o) : « Vous êtes vivant, alors vivez ».
Cette pensée me rappelle que chaque embûche et contretemps peut toujours servir aussi de tremplin :-D
RépondreSupprimerTu as raison, Béo ; et aussi que nous avons habituellement en nous les ressources nécessaires pour nous tirer d'affaire, quelle que soit la situation... Parfois, comme le dirait Henri Laborit, « Le salut [est] dans la fuite ».
RépondreSupprimerMais cela me fait penser aussi à la nécessité de chanter, à « vivre poétiquement », comme disait Edgar Morin. Et comme l'écrivait hier notre collègue Samandtdi, de « Vie commune », s'inspirant d'un truand amateur de camembert ;o) : « Vous êtes vivant, alors vivez ».
Je crois que c'est d'abord une leçon de confiance : confiance en soi et, comme le dirait Yourcenar, confiance « dans l'ordre des choses ».
RépondreSupprimerLa confiance est devenue denrée rare :-(
RépondreSupprimerConfiance, et joie de vivre !
RépondreSupprimerOliv'