vendredi 10 septembre 2010

Ces derniers jours, sans le vouloir, j'ai alerté quelques lecteurs, quelques amis ; j'en suis désolé. En plus des commentaires laissés sous le billet précédent, j'ai reçu des courriels et des appels téléphoniques ; je remercie chacun d'entre vous de cette chaleureuse attention.


Sans lien direct avec le billet précédent, cette carte est arrivée ces derniers jours aussi, envoyée par deux amis qui ne sont pas normalement ensemble mais qui se sont retrouvés en vacances dans cette magnifique région de France. Merci à vous deux (que je n'ai pas besoin de nommer).

Il n'y aura pas de vacances pour moi cet été, mais le mot « vacances » n'a jamais été mon mot préféré - pour Alexander non plus, d'ailleurs. J'aime la liberté de faire ce que j'aime quand j'en ai envie, mais le prix d'un mois de vacances représente souvent onze mois d'esclavage.

2 commentaires:

Lux a dit…

Le coût des vacances dépend de ce qu'on en fait. Personnellement, j'ai toujours considéré cette période comme un moment de ressourcement, de réflexion.

Donc, beaucoup de temps pour intérioriser, faire le point et non pour dépenser et m'agiter dans des activités ou voyages quelques fois plus fatigants que le travail lui-même

Évidemment, c'est très personnel comme choix et je ne critique pas ceux qui en font d'autres.
P.S. Quelle beauté ce champs de lavande. Ça sent presque jusque dans mon écran.

Alcib a dit…

Lux : En effet, chacun fait ses choix... s'il est libre ou capable de le faire.
J'ai simplement du mal à avoir des moments de plaisir programmés plusieurs mois d'avance.
L'idéal pour moi est de faire ce que j'aime et d'incorporer régulièrement dans mes périodes de travail, chaque jour si possible, des moments de détente et de ressourcement. Je ne peux pas attendre onze mois pour m'accorder un peu de qualité de vie ; c'est chaque jour qu'il faut vivre.

J'aime autant la couleur de la lavande que son odeur...