
J'ai lu il y a quelques jours une nouvelle très triste qui aurait fait très mal à Alexander. Je sais qu'il y a régulièrement, partout dans le monde, des drames qui causent la mort de dizaines, de centaines de personnes, mais il y a tout de même quelque chose de révoltant là apprendre la mort inutile d'un animal, lorsqu'elle est causée par un être humain. Les animaux ne font pas de mal aux humains, du moins pas inutilement. C'est vrai que les victimes d'actes terroristes n'ont pas forcément fait de mal non plus, mais je suppose que les terroristes se disent : « Si ce n'est pas lui (qui a fait le mal), c'est son frère ». Ce n'est évidemment pas plus acceptable. Mais les humains sont ainsi : ils aiment s'entretuer et ils sont « libres » de le faire. Mais les animaux ne jouent pas selon les mêmes règles et ont doit les protéger contre la bêtise et la cruauté des humains.
La nouvelle qui a retenu mon attention c'est que cinq adolescents ont poursuivi en voiture, sur une distance de sept kilomètres, un orignal (élan d'Amérique), sur un chemin dans une forêt. L'orignal est mort d'épuisement au bout de la poursuite.
L'orignal n'a pas de vision latérale, ce qui explique que l'orignal ait poursuivi sa course droit devant lui, sur le chemin emprunté par la voiture des adolescents, au lieu de quitter le chemin pour se réfugier dans la forêt. De plus, l'animal est très vulnérable à la poursuite car il n'est pas fait pour la course.
Deux des cinq jeunes occupants ont été inculpés : « le conducteur et le passager avant. Le premier pour la conduite du véhicule lors de l’infraction, le second pour complicité et incitation. »
S'ils sont reconnus coupables, ils pourraient écoper d’un minimum de 5000 $ d’amende et d’une suspension de leur permis de chasse pendant deux ans. Alexander dirait que ce n'est pas encore assez et que les permis de chasse ne devraient exister pour personne de toute façon.
L'acte de cruauté perpétré par les adolescents ne relève pas du code criminel mais une loi québécoise interdit de poursuivre un animal avec un véhicule.
On ne dévoile pas l'âge des adolescents mais si on ne les accuse pas d'avoir conduit un véhicule sans permis, c'est qu'ils sont âgés d'au moins seize ans. C'est un âge où, si l'on ignore encore la loi, on devrait au moins faire preuve d'un peu de jugement.
La nouvelle qui a retenu mon attention c'est que cinq adolescents ont poursuivi en voiture, sur une distance de sept kilomètres, un orignal (élan d'Amérique), sur un chemin dans une forêt. L'orignal est mort d'épuisement au bout de la poursuite.
L'orignal n'a pas de vision latérale, ce qui explique que l'orignal ait poursuivi sa course droit devant lui, sur le chemin emprunté par la voiture des adolescents, au lieu de quitter le chemin pour se réfugier dans la forêt. De plus, l'animal est très vulnérable à la poursuite car il n'est pas fait pour la course.
Deux des cinq jeunes occupants ont été inculpés : « le conducteur et le passager avant. Le premier pour la conduite du véhicule lors de l’infraction, le second pour complicité et incitation. »
S'ils sont reconnus coupables, ils pourraient écoper d’un minimum de 5000 $ d’amende et d’une suspension de leur permis de chasse pendant deux ans. Alexander dirait que ce n'est pas encore assez et que les permis de chasse ne devraient exister pour personne de toute façon.
L'acte de cruauté perpétré par les adolescents ne relève pas du code criminel mais une loi québécoise interdit de poursuivre un animal avec un véhicule.
On ne dévoile pas l'âge des adolescents mais si on ne les accuse pas d'avoir conduit un véhicule sans permis, c'est qu'ils sont âgés d'au moins seize ans. C'est un âge où, si l'on ignore encore la loi, on devrait au moins faire preuve d'un peu de jugement.