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mardi 21 juillet 2015

Alexandre le Grand - nouvel anniversaire

Comment pourrais-je laisser passer cette date sans souligner cet anniversaire de naissance d'Alexandre, fils de Philippe II de Macédoine, qui allait devenir pour toujours Alexandre le Grand ? 


Il est fort possible qu'en ce 21 juillet 356 av. J.-C., jour de la naissance, à Pella en Macédoine, d'Alexandre qui allait devenir le Grand, Alexander et moi n'étions pas très loin et que nous avions déjà fait connaissance. C'est sans doute à ce moment-là qu'Alexander a commencé à aimer aussi Héphaistion, né selon certains auteurs à peu près à la même date de la même année. C'est ce qu'aimait me raconter mon amie Danielle, astrologue, généalogiste et médium (entre autres).

mardi 10 novembre 2009

10 novembre 324 av. J.-C.

Alexander aimait voyager dans le temps et les personnages du temps d'Alexandre le Grand, par exemple, avaient pour lui une réalité aussi actuelle que les pantins politiques actuels que l'on voit trop souvent dans les médias.

Si Alexander avait pu remonter le temps, il aurait très certainement voulu remonter au moins jusqu'à l'an 356 a. J.-C. Il aurait voulu renaître à Pella avec Héphaistion, fils d'Amyntas (on ne semble pas connaître la date exacte de sa naissance, certains le faisant naître exactement le même jour que son ami le plus cher, son compagnon qui fut sans doute pour lui ce que fut Achille pour Patrocle, un ami, un amant, Alexandre, fils de Philippe II, roi de Macédoine, né le 21 juillet).

Il aurait voulu accompagner Alexandre et Héphaistion lorsqu'ils déposèrent, en 334 av. J.-C., près de Troie, une gerbe de fleurs sur les tombes de deux autres amis-amants célèbres, Achille et Patrocle. Il était si fier que les cendres de ces deux amants soient réunies.

Il aurait surtout voulu être là, en 324 av. J.-C., quand Héphaistion fut pris d'une fièvre violente, qui pouvait être la typhoïde ou bien la malaria. Alexander aurait voulu être médecin à cette époque afin de sauver la vie de celui qui fut toujours son héros le plus cher, un modèle incomparable de dévouement et de fidélité. Avec ses connaissances actuelles il aurait certainement pu empêcher que la fièvre emporte Héphaistion, ce 10 novembre 324 av. J.-C. Il serait triste en ce jour anniversaire. Je le suis pour lui, doublement.

J'aurais tellement voulu, et je ne suis pas le seul, qu'Alexander puisse terminer la rédaction du livre qu'il préparait sur cette époque, sur son ami Héphaistion, surtout. Plusieurs fois, nous avons évoqué ensemble ce livre, ses recherches, sa correspondance avec des universitaires renommés afin de valider des renseignements recueillis. Je n'ai pas vu son manuscrit et nous avons aussi manqué de temps pour parler plus sérieusement de ce projet, mais Jane me disait que le manuscrit était déjà très avancé.

Il déplorait aussi que personne ne semble avoir songé à réunir les cendres d'Alexandre le Grand et de son fidèle Héphaistion.


Les cendres d'Héphaistion furent sans doute déposées dans une urne qui pouvait ressembler à celle-ci.

Maintenant qu'il est dans une dimension où le temps n'existe pas, sans début et sans fin, Alexander a très certainement retrouvé ceux qui, parmi les êtres qu'il aimait, l'ont précédé dans cette dimension. Il aura reconnu celle qui chantait à son petit ange de si douces berceuses, son père qui adorait son petit garçon, sa marraine qui l'encourageait à rester lui-même sans laisser ceux qui prétendent l'aimer essayer de le transformer ; il aura retrouvé Freddy, Tony, ... mais aussi quelques écrivains qu'il aimait tant, tout le cercle autour d'Alexandre le Grand, à qui il pourra reprocher d'avoir trop souvent fait pleurer Héphaistion et, avec celui-ci, il pourra se rassurer : il aura été à la hauteur de ses exigences en matière de dévouement, de loyauté, de fidélité, d'amour sans arrière-pensée.

lundi 21 juillet 2008

21 juillet - 356

Il y a 2364 ans, à Pella, en Macédoine, naissait Alexandre, fils d'Olympias et de Philippe II, ce même Alexandre que nous connaissons maintenant sous le nom d'Alexandre le Grand.

Ces photos de famille semblent montrer, comme bien d'autres, une famille heureuse.


Selon certains auteurs, et peut-être au fond s'entendent-ils très bien sur ce point, cette famille n'était pas si unie que peuvent ne le laisser croire ces images. Philippe II avait de jeunes maîtresses et de jeunes épouses, sans compter les jeunes mignons. Olympias aimait les serpents et ceux-ci peuplaient ses appartements et son lit.

Quant à Alexandre, s'il était bien le fils d'Olympias, peut-être n'était-il pas vraiment le fils de Philippe II. Une légende entretenue par Alexandre lui-même veut qu'il ait été conçu par Zeus.


Par sa mère, il descendrait aussi de Néoptolème, fils d'Achille.


Avec un tel arbre généalogique, a-t-on besoin d'une forêt ?


Comment parler d'Alexandre sans nommer son fidèle Héphaistion, ami d'enfance et, jusqu'à la fin, compagnon de ses jours et de ses nuits. Selon certains auteurs, Héphaistion serait né le même jour et la même année qu'Alexandre ; selon d'autres, il y aurait quelques mois — voire une année —, de différence entre les deux jeunes natifs de Pella.


Depuis la lecture de La jeunesse d'Alexandre, de Roger Peyrefitte, j'ai appris à mieux connaître Héphaistion et, ces dernières semaines, Le feu du ciel, de Mary Renault, me l'a fait découvrir et aimer davantage, d'autant plus que j'ai pu bénéficier des lumières de quelqu'un qui a beaucoup étudié cette période et qui s'est intéressé, plus particulièrement, à la relation entre Alexandre et Héphaistion.

Toutes ces images ne proviennent pas, vous l'aurez deviné, de l'album de famille. Elles sont tirées du film ou de la publicité de celui-ci qu'a réalisé Oliver Stone sur Alexandre le Grand.


Quant à cette dernière, elle illustre le stylo que Montblanc a consacré au plus grand conquérant de tous les temps.

Je compte bien accompagner un jour quelqu'un qui m'est très cher et qui entend faire le pèlerinage à Pella, lieu de naissance d'Alexandre et d'Héphaistion.

Ajout du 22 juillet 2008 : À cause de son habileté à protéger les troupeaux, on a donné au personnage Pâris, de la mythologie grecque, le surnom d'Alexandre car, en grec Αλέξανδρος / Aléxandros, signifie « protecteur des hommes ».
On fête généralement la Saint-Alexandre le 22 avril. Originaire de Phrygie en Asie mineure, Saint-Alexandre de Lyon pratiquait la médecine lorsqu'il fut martyrisé en 177 en tant que chrétien.