Même si c'est, pratiquement, chaque jour sa fête, Rupert ne comprendrait pas que je ne souligne pas, en ce 26 août, cette journée du chien.
Je n'ai pas besoin de redire quelle place Rupert tient dans mon cœur, dans mon espace, dans ma vie. Il est pour moi un merveilleux compagnon, mais il est aussi l'ami de presque tout le monde dans notre rue, dans le quartier, jusque sur le campus de l'université McGill.
Je dis « presque tout le monde », car, où que l'on aille, il y a toujours un certain nombre d'imbéciles qui, dès qu'ils voient un chien, d'aussi loin qu'ils peuvent, traversent la rue ou marchent dans la rue jusqu'à ce que le chien soit dépassé et reviennent ensuite sur le trottoir.
Mais il y a des mères, des parents intelligents et soucieux de bien éduquer leurs enfants, qui font des détours avec leur bébé, leurs enfants, pour venir voir Rupert et permettre aux tout-petits d'approcher un chien qui est, parfois ou la plupart du temps, plus gros qu'eux et cependant tout doux et tendre avec eux. C'est tout au moins le cas de Rupert : il ne reste jamais indifférent lorsqu'il entend ou voit venir un bébé ou un enfant.
Je dis « presque tout le monde », car, où que l'on aille, il y a toujours un certain nombre d'imbéciles qui, dès qu'ils voient un chien, d'aussi loin qu'ils peuvent, traversent la rue ou marchent dans la rue jusqu'à ce que le chien soit dépassé et reviennent ensuite sur le trottoir.
Mais il y a des mères, des parents intelligents et soucieux de bien éduquer leurs enfants, qui font des détours avec leur bébé, leurs enfants, pour venir voir Rupert et permettre aux tout-petits d'approcher un chien qui est, parfois ou la plupart du temps, plus gros qu'eux et cependant tout doux et tendre avec eux. C'est tout au moins le cas de Rupert : il ne reste jamais indifférent lorsqu'il entend ou voit venir un bébé ou un enfant.
Aujourd'hui, sur le campus de l'université McGill, il a joué abondamment avec une famille composée des parents et de plusieurs enfants venus de Chicago pour accompagner l'une des adolescentes qui commence sa première année d'études universitaires à McGill. Ils avaient avec eux leur Golden retriever de dix ans qui explorait le campus à sa façon. Étonnamment pour une famille de Chicago, à l'exception du père moins à l'aise, ils parlaient tous un excellent français.
Dans un registre moins heureux, la Ville de Montréal, à la façon du maire Denis Coderre qui a souvent l'air, l'attitude, le discours et le comportement d'un chien enragé, s'apprête à faire euthanasier ou à « expatrier » plus de cinq cents (500 !!!) chiens que l'on prétend de la race des pittbulls parce que leurs propriétaires, pour une raison ou pour une autre que la Ville refuse même de préciser à chacun des propriétaires de ces chiens, n'ont pas réussi à obtenir le permis spécial requis par la municipalité pour garder ce type de chien. N'ayons pas peur des mots : en ce qui concerne les chiens, notre maire et son administration sont carrément racistes !