mercredi 28 juillet 2010

Un à zéro pour le taureau






La Catalogne vient d'interdire les corridas. Les taureaux devront attendre le premier janvier 2012 pour dormir tranquilles (date d'entrée en vigueur de cette loi adoptée ce 28 juillet 2010 par le parlement catalan) mais aujourd'hui, ce sont les matadors et les amoureux de tauromachie qui voient rouge (ce sont d'ailleurs les seuls à distinguer le rouge car le taureau, comme la plupart des vertébrés, ne distingue par les couleurs). Cette loi interdisant les mauvais traitements infligés à des animaux survient cinq ans après l'abolition par l'Angleterre de la chasse à courre (citadins et ruraux confondus, 76 % des Anglais étaient favorables à l'abolition de cette tradition séculaire). Avec un peu de patience, les animaux finiront peut-être par ne plus être les victimes des jeux sanguinaires des humains. Après tout, les combats de gladiateurs, entre eux ou contre les ours, les sangliers ou les lions, n'ont été interdis qu'au IVe siècle.

Seras-tu un peu plus tranquille, Alexander ?


lundi 26 juillet 2010

Accident de parcours

M... !!!"

Je suis vraiment désolé :
Blogger a fait disparaître
la mise en page classique
d'« Exil intérieur » !
Impossible de le retrouver !

dimanche 25 juillet 2010

A comme...

A comme... absence
A comme... angoisse
A comme... attente vaine

A comme... absolument insupportable

A comme... Alexander, évidemment
A comme... Amour
(l'un ne va pas sans l'autre)


A comme... Alexander le bulldog qui devient de plus en plus un grand garçon, sans moi

A comme... hArry, l'adorable siamois qui repose dans le parc de celle qui l'avait recueilli pour l'offrir à Alexander et qui sera parti quelques mois avant lui


A comme... Amis (qui, pour une raison ou pour une autre, semblent inaccessibles)

A comme... la première lettre des cinq premiers noms ou pseudonymes dans ma liste d'amis sur MSN, tous silencieux, et comme la première lettre du prénom d'autres êtres très chers qui ne sont pas dans cette liste

A comme... été (que je n'aime vraiment pas ; pas seulement à cause de la canicule, des disparitions survenues en plein été, mais aussi à cause de la désorganisation qu'entraîne la saison), synonyme d'absence, d'abandon ou de dispersion

A comme... août, autre mois que j'aimerais pouvoir sauter

A comme... tellement d'autres choses que je n'ai même pas envie de nommer.


mercredi 14 juillet 2010

Couleurs de la France


Bonne fête nationale aux amis français
(qui sont probablement tous en vacances depuis quelque temps
... et pour plus longtemps encore.)




Signe des temps ? Voulant consulter le site www.France.fr, j'ai obtenu l'affichage illustré ci-dessus : « Site momentanément indisponible »


vendredi 9 juillet 2010

Histoire d'un amour


« Un amour éternel
n'est pas un amour sans histoire.
C'est un amour que son histoire
n'anéantit pas, mais prolonge. »

André Comte-Sponville


mercredi 7 juillet 2010

Notre Petit Prince

Ces dernières années, Alexander habitait Londres,
à deux pas de l'abbaye de Westminster

Depuis minuit heure de Greenwich, la famille d'Alexander est rassemblée, avec des amis très chers, autour du caveau où reposent les cendres d'Alexander, pour prier et commémorer le premier anniversaire de son départ. Je voudrais être là, avec eux, dans cette église du XIIIe siècle, dans ce paisible petit village de la campagne anglaise, afin de joindre aux leurs mes hommages et mes prières. Il n'était pas possible que j'y sois moi-même physiquement, mais j'y suis encore très bien représenté par une amie merveilleuse qui a déposé à l'entrée du caveau un important arrangement en forme de coeur, composé de roses roses, avec une carte portant mon nom. Alexander n'avait pas besoin que mon nom y soit écrit mais je suis heureux qu'il le soit : il rappellera ainsi à ceux de la famille qui préféreraient l'oublier qu'Alexander avait un amoureux et que cet amoureux ne l'oubliera jamais.

Enfant, il a cependant grandi
plus près de l'abbaye de Cantorbéry

Je suis heureux que sa grand-mère ait pu se déplacer et se joindre aux autres. Ainsi, il y aura au moins trois personnes pour m'associer en pensée à Alexander. Ce Petit Prince m'avait choisi et, durant quinze mois, même à distance, nous avons appris à nous connaître et nous avons partagé autant d'émotions, de découvertes, d'émerveillement, d'inquiétudes aussi, que peuvent en partager en plusieurs années un couple marié.

Alexander, notre Petit Prince, a compris, il y a quelques jours, que cette grand-mère qui l'a toujours adoré et qu'il adorait, même si, bien involontairement, il l'a selon lui trop souvent fait pleurer, viendrait à l'église avec les autres pour lui rendre hommage. La semaine dernière, en ouvrant sa porte, la grand-mère qui aime les animaux comme les a toujours aimés Alexander, a découvert un joli renardeau qui dormait en boule. Il savait bien où aller trouver refuge, lui aussi ! Elle lui a donné à boire et à manger et, depuis, le renardeau la suit partout.

Lorsqu'il est minuit, en Angleterre, il est dix-neuf heures à Montréal. Pratiquement tous les soirs à cette heure, Alexander et moi étions en conversation et nous guettions s'écouler les dernières secondes avant que le carillon de Westminster ne sonne minuit. Peu importe le sujet de conversation. nous faisions une pause pour souligner la présence rassurante du carillon et les douze coups du Big Ben. Lui les entendait par ses fenêtres ouvertes, à proximité, et moi je les écoutais sur mon ordinateur grâce un petit logiciel qui reproduit exactement, chaque quinze minutes et en temps réel, le son du carillon et du Big Ben. Après quoi nous poursuivions la conversation exactement là où nous l'avions interrompue. Chaque soir, à dix-neuf-heures, j'ai un fort pincement au coeur (et la plupart du temps bien davantage) ; je ne peux jamais m'empêcher de penser qu'à ce moment précis il est minuit à Londres.

Et pourtant c'est dans une plus modeste église, comme celle-ci, pas celle-ci,
mais dans une église de ce genre, plus ancienne (XIIIe siècle),
que reposent ses cendres, près de ceux qui,
depuis des siècles, l'ont précédé

Depuis minuit, donc, la famille et des amis très proches unissent leurs prières pour rappeler à Alexander combien il est aimé, et pour demander que son âme soit maintenant dans la paix, dans l'amour et dans la lumière, entourée de toutes celles qui l'ont précédée, qui aiment Alexander et qu'Alexander a toujours aimées. Je ne suis pas sûr de savoir bien prier , si je l'ai jamais su ; j'ai perdu l'habitude des répétitions de mots quand le coeur n'y était pas vraiment. J'essaie de réapprendre, à ma façon, sans faire semblant ; cela aussi, je le dois en grande partie à Alexander.

En début de soirée, avant dix-neuf heures, j'ai abondamment pleuré et je continue en rédigeant ces mots. Je ne me sentais pas prêt, pas encore digne, ce soir, de participer à cette commémoration. J'aurais voulu me faire beau, à l'intérieur comme à l'extérieur, comme Alexander avait l'exquise politesse de soigner sa tenue vestimentaire et de se parfumer pour venir me parler.

Je ne suis pas sûr d'avoir les bonnes couleurs,
mais cette image donne un aperçu

Néanmoins, j'ai allumé des bougies blanches devant les plus belles images de lui, près de plusieurs objets rappelant son passage sur Terre. J'ai affiché sur l'un des écrans de l'ordinateur des images de l'église où la famille est réunie et, pour mieux me joindre à eux, j'écoute sans interruption des airs de cornemuse. C'est que Charles, le grand frère adoré, a eu l'excellente idée de retenir les services d'une dizaine de Highlanders, joueurs de cornemuse, en tenue de gala traditionnelle. Durant vingt-quatre heures, ils joueront en continu, d'abord ensemble au début de la nuit, puis encore en fin de soirée de ce 7 juillet, se relayant le reste du temps. Quelle magnifique façon de faire sentir à Alexander qu'il n'est pas seul, que nous l'aimons et que nous ne l'oublions pas ! Alexander a toujours adoré la cornemuse. Souvent nous en avons écouté ensemble. Je dois dire que je suis toujours très ému par son timbre et souvent profondément remué par les airs auxquels elle est associée. J'imagine que ce sont mes origines irlandaises qui, ainsi chatouillées, se réveillent.

J'ai reçu ce matin un long message, vraiment bouleversant, exprimant tant d'amour pour notre Petit Prince et me révélant encore davantage à quel point, durant son court passage sur Terre, il aura été merveilleux. Je constate encore une fois que sa capacité d'émerveillement était pratiquement, à vingt-sept ans, aussi belle et étonnante qu'à cinq ans. Du premier au dernier jour de son existence ici, il aura conservé son innocence, une pureté rare, son authenticité... J'aimerais pouvoir un jour m'approcher de la qualité intrinsèque de ce garçon. Il faudrait plusieurs vies.

Ce n'est pas le texte que j'aurais voulu écrire pour souligner ce douloureux anniversaire du départ de notre Petit Prince. Mais avec le temps, j'ai pris davantage conscience de la complexité, de la richesse de ce garçon, et j'ai du mal à organiser mes idées pour parler de lui dans ces pages. Il y aurait encore tant et tant à dire à son sujet. Je ne renonce pourtant pas à essayer de construire autour de son nom, de son esprit, une cathédrale de mots qui recèleront à jamais les richesses de cet être merveilleux que j'ai eu le privilège d'accompagner un moment.

Pour l'instant, en écoutant la cornemuse, je vais me replonger dans la lecture de notre correspondance, et dans celle d'amis d'Alexander ; la plus grande majorité des pages écrites par les amis, en particulier celles de « Docteur Jane », sont absolument bouleversantes. Qui donc a dit que les Anglais avaient le sang froid ? Ces pages révèlent chaque fois davantage, s'il en était besoin, la mesure de ce que nous avons perdu avec le départ d'Alexander.


Merci, Alexander, d'avoir croisé ma route, d'avoir attiré et retenu mon attention en m'invitant à marcher avec toi. Tu as inspiré et donné tant d'amour, tu as accordé tant d'attention et de réconfort, prodigué tant de joies inattendues, de bonheurs inespérés. Tu as mérité d'être maintenant et pour toujours dans la paix, l'amour et la lumière... jusqu'au jour où tu voudras revenir sur Terre. Ce jour-là, je t'en prie, dis-le moi.

mardi 6 juillet 2010

75e anniversaire du Dalaï Lama



Le Dalaï Lama a 75 ans aujourd'hui.

En exil depuis cinquante ans, le Dalaï Lama est resté, au delà des frontières et des appartenances religieuses, l'un des chefs spirituels les plus respectés. Il est, partout sur la Terre (excepté en Chine, probablement, qui comme l'Union soviétique sous Lenine impose des politiques qui n'ont pas beaucoup de respect pour la personne), un exemple de sagesse, un apôtre de la non-violence et de la compassion, une source d'espoir, un messager de paix travaillant à construire un monde meilleur. Les très officiels représentants de l'Église catholique, parmi tant d'autres, auraient tout intérêt à s'en inspirer.

Le dalaï-lamas sont des maîtres spirituels réincarnés. Quand vient le temps de le remplacer, ses fidèles se mettent à la recherche de sa réincarnation. La Chine a annoncé son intention de choisir elle-même le prochain Dalaï Lama, qui ne sera donc pas Tibétain, mais Chinois. Le Dalaï Lama a cependant déclaré : « Si la situation présente du Tibet reste la même, je renaîtrai hors du Tibet, loin du contrôle des autorités chinoises. C'est logique. Le but même d'une réincarnation est de continuer le travail inachevé de l'incarnation précédente. Si donc la situation tibétaine n'est toujours pas résolue, il est logique que je renaisse en exil, pour continuer mon travail inachevé. »

Soyez l'un des millions à lui adresser un hommage à l'occasion de son soixante-quinzième anniversaire ! Cet hommage lui sera personnellement remis sur un « mur de voeux » à l'extérieur du principal temple de Dharamsala et diffusé par radio dans toute la région.

Pour signer cet hommage au Dalaï Lama, cliquez ici, puis faites circulez le message auprès des gens que vous connaissez.

* * *

Ce sera demain, 7 juillet, un autre anniversaire, beaucoup moins joyeux. La famille se réunit dès ce soir et, toute la nuit, toute la journée, des hommages seront rendus à notre Petit Prince.



Dépendance affective


Alexander m'a tellement parlé de son ami, Alexander le bulldog, parce qu'il savait que je m'intéressais vraiment à son chien et que chaque jour je lui demandais de ses nouvelles. Il me parlait de lui avec tellement d'amour et il était vraiment heureux de constater que je l'aimais autant. Alexander Bull est en effet un chien adorable. Un ami d'Alexander me disait qu'il était tout un personnage. Il est tellement connu à Londres qu'il est étonnant que les journaux ne s'emparent pas de sa vie et qu'il ne soit pas poursuivi par les paparazzi. Un peu cabotin et aimant son public, il adore se promener en voiture et se faire admirer, comme la reine dans son carrosse. En cela, il est tellement différent d'Alexander ; mais ils se complétaient bien, ces deux-là. Alexander avait donc toujours plein de choses à me raconter au sujet de son chien si je lui demandais de me parler de lui.


Je me suis donc fortement attaché à Alexander Bull et, à cause de lui, j'ai voulu mieux connaître les bulldogs anglais : j'ai fait des recherches sur Internet, j'ai appelé des éleveurs, etc. Il n'y a pas beaucoup de bulldogs anglais à Montréal. J'ai eu le bonheur, au cours de mes promenades, de faire la connaissance de quatre d'entre eux : Olive, Buster, Owen et un autre dont j'oublie le nom, Winston peut-être. Évidemment, chaque fois que je les aperçois, je m'organise pour passer près d'eux, faisant carrément des détours pour aller les voir. Si je n'ai pas le temps de m'approcher ou que les circonstances ne le permettent pas, je suis déçu comme je le serais d'un rendez-vous amoureux raté. Je connais maintenant l'horaire de sortie de l'un d'entre eux. Il y a trois jours, un peu avant l'heure prévue de sa sortie, je suis allé m'asseoir dans le gazon à proximité de son passage habituel. Ce soir-là, je l'ai attendu pendant plus d'une heure, en vain. Je suis rentré chez moi tout triste. Si je n'avais pas profité de cette attente pour écrire un peu, j'aurais eu le sentiment d'avoir vraiment perdu mon temps. Pour me consoler, j'ai regardé durant quelques heures des vidéos qui ne me montraient pas que des images, mais de l'interaction entre le chien et son ami.


Il y a dans cet attachement un intérêt réel pour les chiens ; je les aime tous, mais j'ai une préférence pour les bulldogs anglais. Parmi les vidéos regardées, il y a celle sur laquelle Jane Birkin interprète « Période bleue », avec sa chienne Dora, avec qui Alexander Bull a eu le plaisir de jouer à Hyde Park. Alexander et moi avions écouté ensemble cette chanson de Jane Birkin et j'aimais la revoir pas seulement pour la musique, la chanson que j'aime, pas seulement pour Jane elle-même, mais aussi pour le bulldog que, malheureusement, on ne voit pas assez... Par-dessus tout, j'aime particulièrement Alexander Bull, parce que c'est lui qui m'a apprivoisé d'abord. Et puis Alexander Bull est tout de même celui qui, ces dernières années, a le plus partagé l'intimité de mon Petit Prince. Je suis heureux d'apprendre que, depuis quelques jours, Alexander Bull ne quitte plus un jouet que lui a rapporté de voyage le cousin préféré d'Alexander. Je suis heureux pour Alexander Bull, et je suis particulièrement heureux de constater que le cousin ne pense pas seulement à Alexander sur son étoile, mais qu'il pense aussi à son ami resté ici.

dimanche 4 juillet 2010

Un ange dans le ciel...

Photo prise par Noëlle, ce matin à Montréal ; source : Météomédia

samedi 3 juillet 2010

Promotion pour services rendus

Pour avoir voulu ramener le Québec (et le Canada, car le droit criminel relève du gouvernement canadien) au Moyen Âge, et instaurer l'Inquisition, le cardinal Marc Ouellet, archevêque de Québec, obtient une importante promotion à Rome. Ce qu'il n'a pas pu faire ici directement, parce que les Québécois refusent de revenir au « Crois ou meurs » du Moyen Âge, le cardinal le fera dans toute l'Église catholique. Au Vatican, dans l'entourage de son ami Benoît XVI, il sera bien entouré de tous ces vieillards séniles obsédés par le sexe d'une façon ou d'une autre, pour condamner chez les autres ce qui n'est pour eux qu'un rance souvenir.

Je préfère ce rouge à celui du cardinal Ouellet

Jean-Daniel Lafond est le mari de Michaëlle Jean, la gouverneure générale du Canada. Celle-ci se prend parfois elle-même pour la souveraine britannique, au point que le premier ministre canadien a cru bon l'expédier en Chine durant la visite de la reine au Canada, de crainte qu'elle ne tente de faire de l'ombre à la reine Elisabeth II. Au moment où sa femme a été nommée gouverneure générale du Canada, Jean-Daniel Lafond a dû se défendre d'avoir courtisé les souverainistes québécois. Michaëlle Jean a dû alors renoncer à sa nationalité française (comment en effet représenter la couronne britannique avec un passeport français ? - dommage pour le château français où elle envisageait peut-être prendre sa retraite). Maintenant que le mandat de sa femme se termine, le triste sire Lafond se croit obligé de cracher dans la soupe qui l'a si bien nourri depuis son arrivée au Québec en 1974 (il est devenu citoyen canadien en 1981). Le 26 octobre 2005, lors d'un entretien à la radio de Radio-Canada, le sieur Lafond disait : « Je suis devenu Canadien par le Québec et je suis resté Québécois ». Aujourd'hui, croyant peut-être faire plaisir à l'entourage de la souveraine britannique avec l'arrière-pensée d'une nomination quelque part, Jean-Daniel Lafond, qu'un humoriste québécois surnommait « Jean-Daniel Doublefond », affirme (dans un numéro spécial de L'Express) être agacé par les mots « Québec » et « Canada français », car « la force du mot Canada est plus grande que celle du mot Québec ». Et mon père est plus fort que le tien ! Espèce de con ! Comme si l'un empêchait l'autre ! Reniera-t-il aussi sa naissance et sa jeunesse françaises ? Peut-être mettra-t-il cela sur le compte d'une erreur de jeunesse. Rien de pire qu'un nouveau converti pour dénigrer ses anciens coreligionnaires ! Si le sieur Lafond croit pouvoir obtenir, en crachant sur le Québec, un poste de gouverneur des îles Falklands, par exemple, il sera déçu ; d'une part, la reine Elisabeth II est trop intelligente pour apprécier ces hypocrisies et, d'autre part, le gouverneur des Falklands, Alan Huckle, n'a pas l'intention de prendre sa retraite maintenant. Jean-Daniel Lafond devra donc faire ses valises et suivre sa femme en Haïti, car celle-ci deviendra envoyée spéciale de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) en Haïti.

À voir cette photo prise lors du passage de la reine au Canada, il ne faudrait pas croire que tous les Canadiens vivent dans ce genre de maison ; les Québécois non plus, d'ailleurs.

jeudi 1 juillet 2010

1er juillet

Au Québec, le premier juillet, c'est la Journée nationale du déménagement.

Si nous pouvions nous parler directement comme nous l'avons fait directement durant quinze mois, Alexander et moi, nous ne manquerions pas de mentionner que le premier juillet, c'est aussi l'anniversaire de naissance de Lady Di. Par discrétion, il n'aurait peut-être pas mentionné lui-même l'anniversaire mais je sais qu'il aurait eu plus qu'une pensée affectueuse pour la princesse de son coeur. Et il aurait été ému que je le souligne.


Deux autres petits princes auront pour elle une pensée toute spéciale car, comme le disait le prince Harry : « William et moi parlons d'elle tous les jours. »