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mercredi 13 juillet 2016

L'enfer n'est pas plus chaud...

... que le fond de ma cour !

Image provenant du site de Météomédia

C'est une façon de parler, bien sûr, car je n'ai pas de cour, ni royale, ni avant, ni arrière. Mais cela n'empêche pas que cette chaleur intense est insupportable !
On devrait l'interdire par une loi. Et punir sévèrement les présentateurs de la météo, dans quelque média que ce soit, qui annoncent avec enthousiasme les chaudes journées d'été.

Ce sont ces chaudes journées, toujours trop nombreuses au cours de l'été montréalais, qui me font de plus en plus détester cette saison !

J'en souffre ! Rupert en souffre !
Les personnes malades en souffrent !
Les enfants et les personnes âgées en souffrent ! Etc.

Selon un rapport récemment publié par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), la chaleur est un problème de santé publique important au pays. Et l'on dit de nous que nous habitons un pays froid !

Et pourtant, nos « imbéciles heureux » qui n'ont rien de mieux à faire que de se chauffer au soleil en demandent toujours plus. De moins en moins j'ai envie d'avoir des amis parmi ceux qui souhaitent un été chaud. À défaut de temps frais, Rupert et moi allons finir par aimer la solitude.

samedi 26 juin 2010

Trop tard pour les canards


Jamais trop tard pour les connards !

Le Canada produit du pétrole, en Alberta, d'une manière des plus dommageables pour l'environnement. Leurs méthodes ont des conséquences néfastes. En une seule fois, 1600 canards ont payé de leur vie le manque de responsabilité et d'esprit civique d'une compagnie pétrolière. Heureusement, un juge vient de condamner la pétrolière. Cela ne ressuscitera pas les canards mais fera peut-être réfléchir les connards !

Agence France-Presse
Montréal

Un juge canadien a reconnu coupable vendredi la compagnie pétrolière Syncrude de la mort de 1600 canards qui s'étaient posés sur un bassin de décantation utilisé pour l'exploitation des sables bitumineux, ont rapporté les médias canadiens.

Le juge Ken Tjosvold, du tribunal d'Edmonton a estimé que la société canadienne n'avait pas pris les moyens nécessaires pour éviter que les oiseaux migrateurs, des sauvagines, ne se posent dans ce lac artificiel, situé à 40 km de Fort McMurray, dans le nord-est de l'Alberta.

Les oiseaux étaient morts mazoutés après y avoir barboté en avril 2008.

« Au cours des dernières années, Syncrude a réduit le nombre de ses équipements (pour éloigner les oiseaux de l'endroit pollué), ainsi que son personnel », a déclaré le juge lors de l'énoncé de son verdict.

La compagnie pétrolière n'a pas agi assez rapidement pour éviter la mort des oiseaux, a asséné en outre le magistrat, dont les propos ont été rapportés par le site internet du quotidien The Globe and Mail.

L'entreprise risque une amende de 800 000 dollars canadiens, voire plus si le juge décide d'un prix pour chaque tête de canard empoisonnée, selon les médias canadiens. La sentence doit être connue le 20 août.

À aucun moment toutefois ce procès n'a été celui des bassins de décantation creusés par l'industrie des sables bitumineux. Pour séparer le brut du sable dans lequel il est mélangé, les entreprises pétrolières utilisent des quantités faramineuses d'eau. Une fois souillé, le liquide est déposé dans d'immenses lacs artificiels, au grand dam de nombreux riverains et écologistes.

« Nous sommes vraiment ravis par ce verdict, mais nous aurions préféré qu'il intervienne il y a 30 ans, de telle sorte que nous n'ayons pas à traiter 170 kilomètres carrés d'eaux toxiques », a réagi dans un communiqué Sheila Muxlow, responsable locale de l'ONG environnementaliste Sierra Club.

lundi 17 août 2009

Certains l'aiment chaud

Certainement pas moi !


Température ressentie à Montréal : 41 degrés Celsius

La photo vient d'ici

samedi 15 août 2009

La fournaise

La photo vient d'ici

Alexander, pas plus que moi, n'aimait l'été. Lui comme moi avons surtout en horreur le mois d'août. C'est pourtant le mois de mon anniversaire. Mais le mois d'août en ville, c'est insupportable. Les températures sont élevées, l'air est humide et lourd, et, comble de malheur, la pression atmosphérique est souvent à la baisse. Tout ce que je trouve détestable !

Avant d'écrire ce billet, je n'avais pas consulté les nouvelles ni les prévisions de la météo. Or, je constate que l'épisode de temps chaud se prolongera durant quelques jours encore. L'avertissement de smog prolongé incite à la prudence les personnes atteintes de problèmes respiratoires ou cardiaques. À Montréal, samedi après-midi, l'indice de qualité de l'air est « mauvais » ; il n'y a rien d'étonnant car les vents du Sud-Ouest emmènent vers Montréal et le sud du Québec tous les polluants provenant des États-Unis et du bassin des Grands Lacs. Demain, le degré de pollution sera plus élevé encore. La bonne nouvelle (pour ceux qui auront survécu à cet enfer) : le temps pourrait être plus frais dans... quatre ou cinq jours !

Aujourd'hui, la température ressentie est près de 40 degrés Celsius. Et pourtant chaque année, il y a des millions de personnes qui rêvent de ces grandes chaleurs, dont elles souffrent quand elles sont là ! Décidément, les grandes personnes sont bizarres !