jeudi 21 novembre 2013

Pauvres enfants !!!

Pourquoi, croyez-vous, a-t-on masqué le visage de ces six enfants d'âge préscolaire ? C'est pour éviter que l'on soit traumatisés à la vue de la terreur qui se lit dans leur regard face à leurs deux éducatrices ! Cette photo a été prise par une passante, non pas en Iran ou en Afghanistan, mais à l’angle des rues Verdun et Richard dans l’arrondissement de Verdun, à Montréal, le 15 novembre dernier. 

Que font les Services de la protection de la jeunesse devant cette horreur que l'on fait subir à de très jeunes enfants ?

samedi 2 novembre 2013

Pour ceux qui nous ont quittés...

Il n'y a pas besoin d'un jour spécial pour que je pense à Alexander : à chaque instant, il est présent, dans mon cœur, dans mes pensées, dans tout ce qui m'entoure... Je pense à lui, à tous ceux qui sont partis avant lui et qui lui manquaient tellement. Je pense à ceux qui l'ont rejoint depuis, qu'aimait Alexander et qui aimaient Alexander...
Ces photophores ne sont pas les miens,
mais ils ressemblent à certains d'entre eux

Chaque soir, j'allume plusieurs bougies, que je remplace avant qu'elles ne s'éteignent. Leur flamme rappelle que nous n'oublions pas, elle sert peut-être de phare pour ceux qui n'auraient pas encore trouvé la lumière, et elle nous accompagne ainsi jusqu'au lever du jour. Je crois que c'est d'autant plus important que nous entrons dans la saison sombre, que les nuits seront plus longues... Mais en ce 2 novembre, je sais que les proches d'Alexander auront des pensées particulières pour lui et pour tous ceux qui les ont quittés. Je m'associe à eux dans leurs pensées, dans leurs prières et dans leurs diverses commémorations.

jeudi 10 octobre 2013

Voyager en musique



J'ai découvert ceci chez Olivier Bailleux. C'est tout à fait charmant ! Merci.

mercredi 11 septembre 2013

Pour saluer Albert Jacquard

23 décembre 1925 - 11 septembre 2013

Dès que j'ai vu et entendu cet homme, à la télévision il y a plus de vingt-cinq ans, donner une conférence à l'Université de Montréal, j'ai été séduit par ce scientifique extrêmement sympathique, capable toutefois de se mettre en colère et de ne pas être gentil avec tous les exploiteurs sans vergogne, tous les parasites de l'âme humaine. Grand scientifique d'une simplicité désarmante, grand humaniste, doté d'une intelligence supérieure et d'une immense culture. Michel-Ange, Mozart, et tant d'autres créateurs étaient toujours présents dans ses propos sur la génétique... On a tendance à croire que ces grands hommes, puisqu'ils sont nos contemporains, seront présents tout au moins le temps que nous vivrons. La science, l'humanisme, les plus démunis, victimes du libéralisme économique, perdent un de leurs meilleurs défenseurs. Il nous manquera.


L'Agence France-Presse publie un article à son sujet, mais je vous suggère, si vous voulez en savoir davantage d'aller plutôt consulter ce qu'en dit Wikipédia.

samedi 31 août 2013

Hommage à Lady Di - 1961 - 1997

 Lady Diana Spencer et ses deux fils, William et Harry (1988)

Depuis 1997, Alexander se faisait un point d'honneur de venir à Paris au moins une fois par année, le 31 août, déposer au pont de l'Alma une gerbe de fleurs en hommage à sa princesse. Je ne crois pas qu'il ait manqué un seul de ces rendez-vous, jusqu'à ce qu'il reparte lui-même sur son étoile, le 7 juillet 2009. Ce 31 août 2009, ce fut Charles, le frère d'Alexander, qui se rendit à Paris pour déposer une gerbe de fleur au pont de l'Alma pour respecter l'engagement qu'avait pris Alexander de déposer chaque 31 août des fleurs dans ce lieu devenu tristement célèbre. L'année suivante, ce fut Jane, l'amie fidèle qui a tenu la main d'Alexander jusqu'à son dernier souffle, qui vint à Paris déposer ces fleurs en hommage à Lady Di. C'était une façon pour Charles, pour Jane, d'exprimer leur affection pour Lady Di, qu'elle ne serait jamais oubliée. Mais c'était aussi une façon de montrer leur amour inconditionnel envers Alexander, au point d'assumer pour lui un engagement qu'il avait pris lui-même. Un ami gallois, qui se rendait régulièrement à Paris, a déposé plus tard en mon nom un joli bouquet... Je ne sais pas qui,ce 31 août, se rendra à Paris déposer des fleurs près de la flamme de la place de l'Alma. Mais je suis sûr que quelqu'un de très proche d'Alexander sera fidèle au rendez-vous. Je me ferai un devoir d'y être au moins une fois avant de partir à mon tour.

dimanche 25 août 2013

Chaque jour est un anniversaire

L'image vient d'ici

 Il y a cinq ans, Alexander. Je n'oublie pas. Merci.

jeudi 22 août 2013

Un nouveau Petit Prince anglais




Il y a précisément un mois naissait à Londres un nouveau Petit Prince, le premier fils du duc et de la duchesse de Cambridge. Je n'en ai pas parlé ici, car la nouvelle était vraiment partout, et je ne voyais pas ce que je pouvais y ajouter. Évidemment, comme leur famille respective, les amis, les concitoyens, les nombreux admirateurs, je me suis réjoui pour les nouveaux parents. Et j'ai pensé à celle qui, de façon posthume, devenait grand-mère : celle que nous avons connue jeune princesse et qui n'aura jamais de cheveux blancs devait être fière de la naissance de ce petit garçon, fils de son premier fils et de celle qu'il a choisie, elle-même grande admiratrice de la princesse de Galles. 
 

Je ne suis pas anglais, ni britannique, mais mon amoureux était si fier d'être l'un et l'autre que la question ne se posait même pas si j'allais aimer son pays, sa culture, ses traditions, etc. Comme tous ceux et celles qui se réjouissaient de sa naissance, j'étais aussi curieux de connaître le(s) prénom(s) que l'on donnerait à ce nouveau Petit Prince. J'ai pensé que, parmi les prénoms qui se présentaient, il y aurait eu George, Henry, Charles, qui sont des prénoms presque incontournables pour des Britanniques, d'autant plus pour la famille royale. Mon Petit Prince portait lui-même ces trois prénoms, avec Alexander et un autre, moins courant. Je n'ai donc pas été surpris d'apprendre que le nouveau prince s'appellerait George. Si, secrètement, j'espérais qu"on lui donne aussi le nom d'Alexander, celui de Louis m'a étonné un peu, mais pourquoi pas ? Les parents ont leurs raisons qui motivent le choix d'un prénom plutôt qu'un autre ; George et Louis répondent, dans ce cas, à des considérations ayant trait à la famille royale. Alexander serait, semble-t-il, le choix de sa mère, Kate Middleton, duchesse de Cambridge. J'imagine que, dans ce cas comme dans bien d'autres, il y a les motivations officielles et les autres, plus personnelles qui, sans être opposées aux motivations officielles, peuvent apporter un éclairage différent. Quoi qu'il en soit, je suis très heureux que le prénom d'Alexander soit porté par le nouveau Petit Prince, dont on parlera souvent car il est probablement celui qui occupera le palais de Buckingham au tournant du XXIIe siècle.

Du haut de ton étoile, Alexander, je sais que tu souris. Quand j'ai regardé par la fenêtre de ma chambre, il y a quelques minutes, la lune me l'a confié.

mardi 16 juillet 2013

mercredi 19 juin 2013

Ça ne sent pas bon !

Oui, oui, allez-y sans crainte, personne ne le saura :
cliquez sur l'image pour la voir en plus grand

On apprend aujourd'hui que « les stylistes italiens Domenico Dolce et Stefano Gabbana ont été condamnés mercredi par le tribunal de Milan à une peine d'un an et huit mois de prison pour une fraude fiscale estimée à 1 milliard d'euros ».

On ne souhaite le malheur à personne, et c'est évidemment bien triste de voir des gens si propres et si bien habillés prendre le chemin du pénitencier. Malgré tout, j'ai du mal à ne pas me réjouir que même pour les très riches il y a aussi une justice. Toutefois, ils interjetteront appel ; l'exécution de la peine sera alors suspendue, le temps des procédures. Et si leurs avocats jouent bien leur rôle, le jugement sera renversé...

Quand on sait les difficultés que traversent l'économie de tant de pays, ne serait-ce qu'en Europe, il est assez scandaleux d'apprendre que certaines entreprises, certains hommes d'affaires (on ne parle plus seulement de « créateurs » lorsque le chiffre d'affaires dépasse un milliard d'euros pour l'exercice 2011-2012), utilisent des stratagèmes sophistiqués et frauduleux pour éviter de payer leur part d'impôts et de taxes dont l'État a grandement besoin. La fraude est estimée à un milliard d'euros ! Que peuvent-ils bien pouvoir faire avec un milliard d'euros volés à l'État italien ? Il y a tout de même une limite au nombre de châteaux, de villas de grand luxe, en Italie, à Tanger ou ailleurs, aux nombres de voitures, etc., que l'on puisse vouloir acheter. Enfin, chacun fait ce qu'il veut de son argent... à condition qu'il s'agisse de son argent, et non du fruit d'évasion fiscale frauduleuse.

Je n'ai jamais été un client de Dolce & Gabbana, mais si je l'étais, je n'hésiterais pas à cesser d'enrichir des gens dont l'intégrité et la contribution citoyenne sont plus que discutables. D'ailleurs Alexander n'hésitait pas à boycotter un créateur dont il aimait particulièrement la ligne de vêtements, parce que le créateur en question se servait de la fourrure.

En regardant la photo de Domenico Dolce et de Stefano Gabbana, j'ai été un peu surpris : je les imaginais plus jeunes...


 

 Dolce & Gabbana

mercredi 1 mai 2013

lundi 22 avril 2013

Alexander, Alexandre, Alistair...



Bonne fête
à tous les Alexandre, Alexander, Alistair... !
Et tout particulièrement à mes amis
qui portent ce prénom...


 

 y compris ceux et celles qui ont un prénom apparenté ou dérivé :

Αλέξανδρος (en grec)
Alexander (en anglais)
Alexander (en allemand)
Alessandro, Aleandro (en italien)
Alejandro, Aleandro (en espagnol)
Alexandre, Aleandro (en portugais)
Aleksanteri (en finnois)
Александр, Aleksandr (en russe)
Aleksander (en polonais)
Олександр, Oleksandr, Oleksender (en ukrainien)
Iksender (en arabe)
Alexandre (en catalan)

Alec
Alessandro
Alex
Alexandra
Alexandrin
Alexandro
Alexian
Alistair
Axel
Axelle
Lissandre
Lysandre
Sacha
Sander
Sandre
Sandro
Sandy
Sania
Sasha


(le vrai Alexander Bull est plus beau encore)

Joyeux anniversaire à mon grand ami
Alexander Bull

vendredi 5 avril 2013

Les Roses d'Alexander

Il y a deux ou trois jours, en marchant vers la Grande Bibliothèque où je me rends au moins une fois par semaine, je pensais à l'anniversaire de naissance d'Alexander, dont la date approchait ; je me disais que j'irais chercher de jolies roses. Arrivé à la bibliothèque, avant d'aller chercher les documents que j'avais réservés, je me suis dirigé, comme je le fais toutes les fois, vers un grand présentoir de livres de toutes catégories. J'y jette toujours un coup d'œil rapide et il m'arrive de faire là des découvertes très intéressantes. Il y a là des parutions récentes, mais pas uniquement ; aussi bien des romans que des livres de recettes, des livres sur les musées ou sur l'architecture, des manuels d'utilisation de logiciels, des essais sur la santé physique ou mentale, des biographies, etc.

Or, cette fois-ci, il y avait devant moi un livre sur les roses. Déjà, au cours des deux ou trois dernières années, j'avais emprunté quelques livres sur les roses, ce qui était une autre façon pour moi d'approfondir ma connaissance de l'univers d'Alexander. Je n'avais jamais vu celui-ci ; je l'ai saisi, feuilleté, j'ai lu quelques lignes au hasard des pages... Les illustrations étaient belles, non pas des photos mais des dessins très réussis, sans doute à l'aquarelle ; on aurait cru respirer leur parfum... J'ai décidé de l'emprunter ; je l'ai mis sous mon bras et je suis allé chercher les deux autres livres qui m'attendaient. L'un qui aurait beaucoup intéressé Alexander, s'il ne l'avait pas déjà dans sa bibliothèque : un très beau livre d'Édouard Brasey, La Grande Encyclopédie du merveilleux.


Je ne vois pas comment Alexander aurait pu passer à côté d'une telle encyclopédie qui présente « les peuplades féeriques, elfes, lutins, sirènes ou nains, les bêtes terrifiantes comme les dragons, les licornes, les griffons, les gargouilles, mais aussi les créatures de la nuit, les loups-garous, les vampires, les trolls, les cyclopes, les géants, les orques, les titans... » (présentation de l'éditeur). Mais comme cette édition est sortie à l'automne 2012 (j'ai demandé à la bibliothèque d'en faire l'achat ; depuis, je ne suis pas seulement le premier à l'avoir emprunté, plusieurs fois, mais le seul à l'avoir fait jusqu'à présent), Alexander devait avoir l'édition précédente, la « petite » Encyclopédie...

En possession de mes trois livres (l'autre est un livre sur Luca Penni, un peintre disciple de Raphaël, récemment exposé au Prado, puis au Louvre), je me suis dirigé vers un poste libre-service pour y enregistrer mes emprunts. Tout allait bien pour les deux livres que j'avais réservés, mais le système informatique refusait de me laisser emprunter le livre sur les roses. J'ai essayé plusieurs fois et j'obtenais toujours le même message, demandant de me présenter au comptoir du prêt. Il y avait une longue file d'attente ; je me suis plutôt présenté à l'accueil en demandant pourquoi je ne pouvais pas emprunter ce livre. La préposée a regardé le code à l'endos et m'a vite répondu que ce livre avait été « retiré de la collection de prêt et de référence » ; il avait été mis en vente ; quelqu'un l'avait acheté, il y a quelques mois, et il a été déposé récemment sur un présentoir de la bibliothèque. « Vous n'avez pas besoin de l'emprunter ; ce livre est à vous... pour toujours », a-t-elle ajouté avec un grand sourire.

Je suis rentré chez moi tout joyeux. Non seulement je recevais en cadeau un livre qui m'intéressait beaucoup, mais puisque j'avais pensé aux roses avant d'entrer à la bibliothèque, que j'avais l'intention d'en acheter pour Alexander, je me suis dit que, très certainement, il ne pouvait s'agir que d'un clin d'œil d'Alexander pour signifier qu'il est là, toujours présent, qu'il peut lire mes pensées et, même, intervenir dans ma vie.

Un peu plus tard, en parlant à ma voisine, je lui ai raconté cet événement. Spontanément, sans aucune hésitation, elle s'est exclamée : « C'est un signe d'Alexander ! »


Il y a exactement trente-et-un an naissait en Angleterre ce petit ange qui allait devenir ce garçon merveilleux qui a transformé ma vie et que, en attendant de nous voir réunis sur son étoile, j'aimerai jusqu'à mon dernier souffle. Hier soir je suis allé acheter des roses, roses comme celles qu'il m'a envoyées, comme celles, virtuelles, que je lui envoyais tous les jours. Elles sont magnifiques !

vendredi 29 mars 2013

Richard Griffiths - 1947-2013


Harry Potter perd son horrible oncle Vernon Dursley, et les garçons d'une grammar school (lycée, collège) de Sheffield viennent de perdre Hector, leur excentrique, amusant et néanmoins très cultivé professeur... J'ai appris avec une immense tristesse, il y a quelques heures, le décès de l'excellent acteur britannique Richard Griffiths, ce jeudi 28 mars, à l'âge de 65 ans, des suites de complications lors d'une chirurgie cardiaque.

  

 Qui ne se souvient pas de cet oncle épouvantable qui enferme à clé sous l'escalier son inquiétant neveu Harry Potter afin qu'il ne devienne pas magicien comme l'étaient ses parents ? (Et qui n'aurait pas eu envie d'étrangler son ignoble rejeton ?)





 

 
C'est toutefois dans The History Boys que j'ai vraiment aimé Richard Griffiths. J'ai découvert ce film un peu par hasard l'automne dernier en faisant des recherches à la bibliothèque. Les romans, les films qui se déroulent dans les collège, les universités, m'intéressent depuis longtemps ; dans ce film, d'après la pièce d'Alan Bennett, l'action se déroule dans une école (grammar school) de Sheffield, une petite ville du nord de l'Angleterre. J'ai été ravi de voir comment cela pouvait se passer en Angleterre au début des années 80. Il s'agit d'une comédie et il ne faut pas prendre ce film pour un documentaire (Hector, le vieux professeur de poésie, notamment, serait en prison depuis longtemps s'il existait vraiment dans la prude et frileuse société actuelle). C'est une comédie, mais une brillante comédie, très bien jouée - Richard Griffiths y est excellent dans le rôle de ce professeur. Dominic Cooper et Samuel Barnett y jouent des élèves brillants (parmi d'autres). Les dialogues sont subtils, plein de l'esprit britannique que j'aime... Et j'adore leur accent !

 

 
 
Samuel Barnett,Richard Griffiths et Dominic Cooper. 

Contrairement à ce qui est écrit sous la photo, le premier acteur à gauche n'est pas James Corden, mais Dominic Cooper, qui a notamment joué dans Raison et sentiment, d'après le roman de Jane Austen. Les trois autres sont, Clive Merrison (le proviseur), Richard Griffiths (le vieux professeur) et Stephen Campbell Moore (un nouveau professeur spécialement engagé pour préparer les élèves aux concours d'admission d'Oxbridge - Oxford et Cambridge).

Je ne recommanderais pas forcément ce film à tous mes amis. Certains n'aiment pas ce genre de film qui se déroule dans un collège de garçons, univers presque exclusivement masculin (il y a deux ou trois femmes)

Parmi les récompenses remportées par Richard Griffiths et les nominations, je soulignerai celles-ci :
     2006 : Tony Award du meilleur acteur dans une pièce - The History Boys
    2006 : Laurence Olivier Awards du meilleur acteur - The History Boys
    2003 : Nommé au Phoenix Film Critics Society Awards de la Meilleure distribution - Harry Potter et la chambre des secrets
    2007 : Nommé au British Academy Film Award du meilleur acteur - The History Boys
    2007 : Nommé au Chlotrudis Award du meilleur acteur dans un second rôle - The History Boys
    2007 : Nommé au London Film Critics Circle d'Acteur de l'année - The History Boys

On peut voir et entendre sur YouTube la bande annonce.

Il faut évidemment regarder ce film en anglais afin d'apprécier toutes les subtilités des dialogues. D'ailleurs, je ne crois pas qu'il existe une version française. J'ai regardé le film plusieurs fois sur DVD et je le regarderai encore. Hélas, j'ai remarqué après le quatrième ou cinquième visionnement que sur la copie que j'avais, il existe une version sous-titrée en... québécois. Tab... ! J'en suis presque tombé en bas de ma chaise. Alors que les dialogues en anglais sont subtils, plein d'esprit, de finesse, de culture, les sous-titres québécois sont d'une vulgarité scandaleuse. Les sacres, les jurons, épais, dignes des pires humoristes les plus dégoûtants... On n'y reconnaît rien de ce qui fait de ce film un ravissement pour les neurones.

La carrière de Richard Griffiths ne se limite pas à ce film, bien entendu, mais c'est ce film qui m'a permis de le découvrir vraiment et d'apprécier son immense talent. Ses collègues du théâtre, du cinéma, de la télévision semblent unanimes : il n'était pas seulement l'un des plus grands acteurs britanniques, mais aussi un être humain, très chaleureux, drôle, près des gens, un modèle pour certains... Il faudra nous consoler avec ses films et ses émissions de télévision.

Rest in peace, Sir !

dimanche 17 mars 2013

Saint-Patrick



Joyeuse Saint-Patrick à tous les Irlandais, d'ici, d'Irlande, et de partout ! Et tout particulièrement à Shawn, d'une ville bien connue du nord de l'Irlande, pour qui ce dimanche avait une couleur toute particulière.


La basilique Saint-Patrick de Montréal a été désignée monument historique par le gouvernement du Québec en 1985.


Quand je suis sorti, vers le milieu de l'après-midi, j'ai croisé un grand nombre de personnes qui revenaient du traditionnel défilé des Irlandais de Montréal. J'ai regretté de ne pas être sorti plus tôt pour me joindre à eux (après tout, j'ai aussi du sang irlandais).

lundi 7 janvier 2013

Année 2013

« Vas-y, toi ; je suis derrière toi ! »
 
Bonne année 2013 !