« Alexandre et Héphaistion paratageant le même manteau en peau de loup envoyé par Olympias, étaient assis près de la fenêtre, car les lampes n'étaient pas encore allumées. Ils lisaient la Cyropédie de Xénophon, sur l'éducation de Cyrus, texte qui, après Homère, était à ce moment-là l'ouvrage favori d'Alexandre. »
Mary Renault, Le feu du ciel
Alexander connaissait par coeur ce livre de Mary Renault ; il l'avait toujours avec lui, partout où il allait. Et quand il ne dormait pas avec moi, il dormait avec Homère (et avec Harry, Alexander bull et... le Petit Prince).
« Alexandre enroula un peu plus le manteau autour d'Héphaistion, se rappelant que la nuit, il se serrait toujours contre lui à cause du froid. »
Mary Renault, Le feu du ciel
Alexander connaissait par coeur ce livre de Mary Renault ; il l'avait toujours avec lui, partout où il allait. Et quand il ne dormait pas avec moi, il dormait avec Homère (et avec Harry, Alexander bull et... le Petit Prince).
« Alexandre enroula un peu plus le manteau autour d'Héphaistion, se rappelant que la nuit, il se serrait toujours contre lui à cause du froid. »
32 commentaires:
Salut,Alcib?ça va?On n'a plus parlé depuis quelques jours...
Tu es bien?Ou..tu es occupé?
....
Au-delà des nuages... : Merci de ces quelques mots.
Dire que je vais bien, ce serait mentir un peu, mais ne t'inquiète pas, ça ira.
Je tourne des pages, je franchis des étapes, je me libère de certaines obligations ; je serai donc un peu plus libre pour faire ce que j'aime.
J'espère que tu vas bien et que tes études ne t'accaparent pas trop.
Alcib...je suis un peu triste..pourquoi,quand j'entre sur ton bloge..je ne vois rien..tu n'écris plus..pourquoi?j'aimais lire tes articles..mais ..maintenat..je me suis accoutumée avec cette chose(de lire tout ce que tu écris)..je ne peux dire que j'ai beaucoup de temps libre..parce que j'ai beaucoup à apprendre..j'ai beaucoup d'épreuves écrites..
mais ..je peux que je suis vraiment heureuse...tu sais..je t'ai parlé de "la personne spéciale"..maintenant tout s'est changé..elle est..je n'ai pas des mots pour exprimer ce que je sens pour elle..maintenant on parle de toutes les choses..toujours..même si l'école m'occupe tout le temps..et je ne sais pas ce que je dois faire pour que tout soit très bien..elle est toujours là..à côté de moi.elle fait ainsi que je sourire..que je sois heureuse..et j'essaye de lui remercier..
Je ne sais pas ce que je pourrais te dire..
J'espère que tu reviens plutôt sur ton blogue..Avec amitié,G.
(Excuse-moi si j'ai dans ces lignes des fautes)
Au-delà des nuages... : Merci de ta présence et de ta fidélité.
Pourquoi je n'écris pas ? Je ne sais pas. J'aurais pu répondre que je voulaiss implement vérifier si quelqu'un lit encore le blogue, mais ce n'est pas le cas : selon les statistiques, le nombre de lecteurs quotidiens a même beaucoup augmenté ces derniers mois.
La raison est sans doute qui m'empêche de faire tant d'autres choses : manque de temps, manque d'énergie, manque de motivation,,,
Je suis heureux que tout se passe bien pour toi et que tu aimes tes études.
Bonjour Alcib , je suis Eliot, c'est avec du plaisir et de l' emotion que j 'ai parcouru ce blog
Le monde entier n'est qu'une ombre fugitive donnée à l'homme Pour lui faire illusion. Les sourires de la joie ,les larmes de la douleur sont des faux semblants qui trompeurs brillent et trompeurs s'ecroulent ? Il n'est rien de vrai que le ciel. Thomas Moore
Bonjour Eliot. Merci de ce très gentil commentaire et de cette belle citation qui me touche beaucoup plus que je ne peux le dire ici.
Sois le bienvenu dans ces pages et, puisque c'est la première fois que tu laisses un commentaire, tu peux faire un voeu (que tu gardes secret, bien sûr) ; j'espère que ce commentaire ne sera pas le dernier.
C'est toujours amusant d'essayer de deviner qui se cache (sans nécessairement le vouloir) derrière un prénom ou un pseudo ;o)
Spontanément, je serais porté à croire qu'Eliot est Anglais, mais je sais que ce n'est pas forcément le cas.
S'il vous plait, pardonnez moi de m'appeler ainsi...mais c'est le seul nom que je possede. J'avais pense a ecrire sous le nom du fantome des Canterville, mais il n'etait pas d'accord. Je le comprend, maintenant que les amandiers ont refleuri, il savoure sa paix toute neuve.
Je viens de finir "Le feu du ciel" et pour moi rien n'etait plus important que de vous le dire. Tout de suite.
J'ai pleure en pensant a vous.
Je lis votre blog depuis quelque temps, et je suis toujours emu. A chaque souffle. A chaque image. A chaque mot. Surtout a ceux que vous taisez.
Je dors parfois aussi avec Homere, mais surtout avec Maurice, bouillotte professionnelle, chien de son etat.
Je n'ai pas d'Hephaistion pour partager mon grand manteau, malheureusement, mais en lisant votre blog, j'ai compris tant de choses.
Merci d'etre la.
Depuis le 8 janvier je me sens orphelin.
Pardon.
Je l'ai fait,Jai fait mon voeu.
En ce qui concerne Eliot, L'anglais a du sang Italien...
Eliot n'est pas le prenom que ma mere a choisi pour moi quand je suis né, le neuf Mars mille neuf cent quatre vingt.
Ce jour là,elle m'a offert en guise de cadeau le prenom de son pére Sandro
Durant l'enfance, nono Sandro m'a torturé,et quand je dis torturé , je pése mes mots.
Javais quatorze ans quand j'ai decidé de laisser tomber Sandro pour Eliot
C'etait vital...
De ce faite Eliot m'a aidé à vivre avec Sandro sans le tuer vraiment.
C'est en devenant E liot que j'ai reussi à confier à ma mere les souffrances que me faisait endurer nono Sandro et c'est ainsi qu'Eliot à finalement tué Sandro.
Depuis le temps a passé, je suis resté Eliot et je me rends compte aujourd'hui que Sandro et Eliot se confondent et cohabitent assez bien, de l'un à l'autre je sais à peu prés qui je suis.
Je me suis reconcilié avec moi
A l'horrible nono je peux dire enfin.
Repose en paix, je t'ai tué, mais je t'ai pardonné.
Tout cela mon cher ALCIB pour justifier le pourquoi d'Eliot
ps ..
Je n'ai pas connu mon pére
Peut- être etait il Anglais...
Eliot - Alexandre - Sandro : Merci, de ces commentaires si touchants auxquels j'essaierai de répondre.
D'abord je souhaite que ton voeu se réalise (j'ajoute parfois en riant : « à condition qu'il ne soit pas contre moi », mais pourquoi, à mon invitation, quelqu'un ferait-il un voeu pour me nuire ? Je ne me connais pas vraiment d'ennemis, sauf un certain nombre de personnes qui ne se savent pas ennemies. En fait, elles ne sont pas vraiment ennemies : c'est la bêtise en eux que j'ai parfois du mal à supporter. Et puis elle ne sont pas vraiment ennemies. Je pardonne facilement aux personnes de bonne foi, mais en attendant leur contrition, je les ignore simplement et parfois je les méprise).
Eliot, c'est un beau prénom. Et comme le choix d'un prénom est très important, je suis persuadé que celui-ci a, depuis l'âge de quatorze ans, fortement influencé ta personalité, de la manière que tu l'auras souhaitée.
Alexandre est aussi un très beau prénom. Depuis mon adolescence, j'ai toujours pensé que si j'avais un fils, je l'appellerais Alexandre. Je n'ai pas eu de fils, mais j'ai eu un amoureux, le garçon le plus merveilleux au monde, très fier et avec raison de s'appeler Alexander. Il avait plusieurs autres prénoms, typiquement anglais, que j'aime aussi, mais Alexander était vraiment SON prénom.
J'ai été quelque peu troublé de voir qu'« Alexandre » avait laissé un commentaire, puis je me suis dit que je n'étais pas le seul à aimer ce prénom.
Alexandre, Alexander, Alessandro, Sandro, Skander, ..., toutes les formes du même prénom sont belles.
Sandro, ça me rappelle à quel point j'ai aimé aussi tout ce qui était italien...
Je suis désolé que ce prénom ait d'abord été associé, pour vous, à quelqu'un qui vous a fait du mal. Mais je suis heureux de lire que vous vous êtes réconcilié avec ce prénom et que vous avez pardonné à ce grand-père. Si l'on peut choisir bien des choses dans la vie, on ne choisit pas son héritage. Mais, comme pour bien d'autres choses, l'important n'est-il pas d'éviter de subir, de transformer ce qui nous est laissé, de faire de notre mieux avec ce que l'on a ?
Très triste..je suis très triste..on parlera plus tard..je me sens horriblement..
Alexandre - Eliot : Vous savez que le fantôme de Canterville est un ami très cher de mon Alexander. Depuis si longtemps, ils ont vécu dans une grande intimité, intimité partagée longtemps avec Alistair, un autre ami d'Alexander, bien anglais lui aussi, même si sa mère est française.
Je n'ai pas beaucoup connu ce fantôme de Canterville, ni beaucoup d'autres fantômes, mais Alexander me parlait de lui avec un tel amour que mon désir était de faire sa connaissance le plus tôt possible. Il y a tant de rêves, de désirs, de projets qui, depuis le 7 juillet dernier, sont restés orphelins !!!
Les amandiers... Hélas, je ne les connais pas « en personne », mais ce mot évoque pour moi tout un univers poétique.
Je suis heureux que vous ayez lu « Le feu du ciel » ; c'était vraiment le livre qu'Alexander traînait partout, absolument partout ; il le lisait, le relisait, même s'il le connaissait par coeur. L'exemplaire qu'il avait toujours avec lui était si abondamment souligné, annoté... Je vous remercie d'avoir pensé à confier votre émotion à la suite de cette lecture. Je suis loin d'avoir la connaissance de ce livre que pouvait en avoir Alexander, mais j'ai toujours aussi avec moi un exemplaire du livre, où que je sois.
Je suis très ému de savoir que vous avez pleuré en pensant à moi, à Alexander aussi, sans doute car il est si indissociable de mon coeur, de mes pensées, de mon identité...
Je vous remercie de me lire avec tant d'intérêt, de fidélité. Je suis vraiment très touché et je ne sais que vous dire, sinon : Merci !
Si je m'étais un instant demandé si on me lisait encore, je serais pleinement rassuré en lisant vos tout derniers commentaires. Je vous en remercie encore du fond du coeur.
Je m'aperçois que je passe du « tu » au « vous » ; je m'étais posé la question en répondant à Eliot et j'avais choisi d'utiliser le « tu », qui est un peu la norme sur les blogues, dans les commentaires... Mais je suis de ceux qui ont encore le « vous » plus spontané que le « tu »...
Vous avez bien compris que les mots que je tais sont beaucoup plus nombreux et plus importants encore que les mots que j'écris sur le blogue. Et si je garde parfois le silence, ce n'est pas que la source soit tarie, mais que j'ai du mal à choisir, parmi tout ce que j'ai envie de dire, les mots que je peux écrire ici.
Faites pour moi un câlin à Maurice.
Je viens de revoir le superbe film de James Ivory d'après le roman d'E. M. Forster, « Maurice » et je sens qu'au cours des prochaines semaines, je le reverrai encore quelques fois.
Je vous souhaite un Héphaistion avec qui partager votre grand manteau. J'avais un peu oublié à quel point ce pouvait être merveilleux d'avoir quelqu'un avec qui tout partager : Alexander m'aura permis de revivre cela, et avec quelle intensité !
Au-delà des nuages... : Je suis désolé que tu sois triste. J'espère que cela ne durera pas.
Tu sais que si tu veux me dire des choses que tu ne voudrais pas écrire ici, tu peux m'écrire en privé à mercurejm @ yahoo . com
À bientôt. Bonne fin de journée.
Vous ne m'avez pas demande de faire un voeu, alors je n'en ferai pas. Cela n'a pas grande importance apres tout car je n'ai rien a souhaiter.
Maurice s'appelle bien Maurice..a cause de Maurice.
Je lui ai fait le calin propose. Merci pour lui.
Le passe compose pour Alexander a ecorche tout en moi.
Je suis un idiot, pardonnez moi. C'est ainsi il faut dire en francais juste parce que il est sur une etoile?
Puis vous parlez de l'Italie.
Je vais rester orphelin.
Je crois je n'ai rien comprit.
C'est Maurice qui voulait que je vous ecrit. Je n'aurai pas du.
Alexandre : Je suis désolé. C'est moi qui n'ai pas compris, je crois. J'ai cru qu'Alexandre et Eliot était la même personne, car Eliot écrit que son vrai prénom (celui que sa mère lui a donné) était Sandro (Alessandro, Alexandre). C'est pour cela que j'ai parlé d'Italie, car j'ai beaucoup aimé l'Italie.
Je suis désolé d'avoir confondu vos identités.
Bien sûr que vous devriez faire un voeu (et gardez-le secret).
Je vous réponds un peu rapidement car je suis en retard pour un rendez-vous, mais je reviendrai, ce soir (c'es5t encore le matin, à Montréal).
Remerciez Maurice pour moi de vous avoir suggéré de m'écrire et, s'il vous plaît, écrivez encore.
Merci pour ta réponse..Je t'écrirai..
Ce n'est pas tres grave vraiment. Il ne faut pas etre desole.
Ce n'est pas pour cela que j'ai de la peine.
Maurice fait mieux s'occuper de ses biscroks les prochains temps.
Alexander : Je suis triste que vous ayez de la peine, et plus triste encore si j'en suis en partie ou complètement responsable.
Je ne vous l'ai pas dit clairement à vous en particulier, mais sachez que l'invitation vous est aussi adressée : vous pouvez, si vous le souhaitez, m'écrire en privé si vous ne souhaitez pas dire ici tout ce que vous voudriez me dire.
L'adresse est toujours la même : mercurejm @ yahoo. com (les espaces en moins).
Je ne répondrai peut-être pas immédiatement car je ne suis pas chez moi en ce moment, mais soyez assuré que je vous répondrai
Je persiste à dire que Maurice a eu raison de vous conseiller de m'écrire (ou d'écrire un commentaire) ; faites-lui plein de câlins (car ceux que l'on donne font autant de bien que ceux que l'on reçoit, n'est-ce pas ?)
De quelle race est Maurice ? Quelle que soit la race, je suis persuadé d'avance qu'il est adorable.
Bonsoir Alcib,J'espère ne pas avoir été trop confus et trop lourd avec mon histoire de Sandro qui devient Eliot en tuant son grand père, je n'avais plus parlé de cette episode tumultueux et difficile concernant ma vie depuis longtemps.
Et puis désolé aussi pour Alexandre qui s'est trouvé confondu dans mon bric à brac de commentaires ;
Je stop là car je dois reconduire Safir dans son box , en ce moment les nuits sont fraiches. Safir c 'est mon poulain ; il a deux ans et je suis fou amoureux de lui
Eliot - Sandro : Non, tu n'as pas été confus ni lourd. Du moins je crois avoir tout compris.
Pour leurs auteurs, les blogues servent parfois à exprimer des situations complexes ou traumatisantes (ou les deux à la fois) ; ils permettent aussi à leurs lecteurs de d'exprimer ce qu'ils n'auraient peut-être pas l'occasion d'exprimer ailleurs ou autrement.
Je me sens moins inutile lorsque l'un de mes articles permet à quelqu'un de s'associer à ce que j'écris et de parler un peu de lui. Nous ne sommes pas si étrangers les uns aux autres, après tout.
Pour la confusion entre Alexandre, Eliot et Sandro, c'est moi qui suis responsable. Alexandre et toi aviez envoyé ce matin un commentaire à quelques minutes d'intervalle. J'ai donc cru qu'Alexandre et Eliot était la même personne. J'en suis désolé pour Alexandre qui n'a pas eu, alors, une réponse tout à fait personnelle à son commentaire. Alexandre et toi n'habitez peut-être même pas le même pays.
Alexandre a un chien, qui s'appelle Maurice ; toi, tu as un poulain de deux ans (je ne sais pas, quelle honte, à quel âge un jeune cheval devient adulte). Alexander, mon merveilleux amour, aimait tous les animaux, mais particulièrement les chiens (son bulldog, qui s'appelle Alexander aussi, est tout un personnage), les chats (son Harry lui a tenu compagnie durant treize ans), et les chevaux (comme cadeau de Noël, en 2008, il a reçu une jeune poulain de trois mois, qui s'appelle Montréal ; malheureusement, il ne l'a pas beaucoup connu. Mais « Montréal » commence bientôt à participer à des concours : je souhaite tellement qu'il remporte des prix pour faire honneur à Alexander, à Jane qui lui a donné ce magnifique cadeau, à la grand-mère d'Alexander qui l'a hébergé et élevé - j'ignore qui l'a dressé et qui le montera lors des concours - ; j'en serai évidemment très fier aussi, pour moi et pour la ville que j'habite qui, ce n'est pas un hasard, porte le même nom...
Fou amoureux de Safir ? tu te serais bien entendu avec Alexander, sans doute. Il savait tellement bien parler aux chevaux, comme à toutes les bêtes, en fait.
J'ai hâte de venir en Angleterre pour constater sur place, en personne, à quel point les chevaux sont digne de l'amour qu'ils inspirent. Alexander a si souvent dormi avec eux... Jane aussi, assise sur la paille, la tête d'un cheval malade sur ses cuisses...
Pardonnez moi mais je crois vous ne lisez pas bien les commentaires. Bien sur vous avez aussi le droit de ne pas repondre.
Mais le francais n'est pas ma langue et peut etre je dis mal les choses. Je ne sais pas. Si c'est cela, excusez moi.
Je vous avais demande quelque chose apres votre premiere reponse commune ( avec cet autre personne qui a deux noms) a propos de Alexander puis, plus loin de l'Italie qui m'ont bouleverse. Vous ne abordez pas cela du tout dans votre reponse, mais vous m'appelez Alexander. Cela m'a emu pour vous. Nous avons presque le meme nom bien sur, c'est pourquoi je ne voulais d'abord pas l'utiliser pour ne pas vous blesser.
Mais vous proposez de ecrire en prive.
Je n'ai pas fait de voeux, parce que ma demande est impossible.
Je crois les voeux ne sont pas fait pour etre realises, le reve est beaucoup plus joli ou plus malheureux.
Alexandre : J'essaie de bien lire et de bien comprendre les commentaires mais, malgré les efforts que je fais pour bien comprendre je ne suis pas à l'abri des erreurs de compréhension, d'interprétation. Je lis et je relis parfois plusieurs fois les commentaires mais le sens de certaines phrases peut m'échapper ou je peux faire erreur en les interprétant. Les mauvaises interprétations sont possibles surtout lorsque je ne connais rien de la personne qui laisse le commentaire : si je ne connais rien de son univers ou de sa façon de penser, il est parfois plus difficile de comprendre le sens exact d'une phrase ou d'un commentaire. Je suis vraiment désolé si je n'ai pas bien compris. Ce n'est pas uniquement à cause de la langue. J'écris en français, c'est ma langue maternelle, et pourtant il arrive que même des amis ne comprennent pas bien ce que j'ai voulu dire alors que j'ai écrit dans ma propre langue.
Pardonnez-moi.
Je crois que j'avais très bien compris votre premier commentaire, sans en comprendre vraiment tout le sens qu'il a pour vous.
La confusion est venue par la suite, comme je l'ai expliqué déjà, car l'autre prénom d'Eliot, qui avait laissé un commentaire immédiatement après le vôtre, est aussi une autre forme d'« Alexandre » : Sandro, Alessandro... Je suis vraiment désolé d'avoir confondu vos identités car c'était la première fois, je crois, que je lisais un commentaire d'Alexandre puis d'Eliot.
Je n'avais pas bien saisi le sens de votre question sur l'étoile. Je vais tenter une réponse, maladroite sans doute ; vous me direz si c'était vraiment le sens de la question.
Dans le Petit Prince, ce merveilleux conte de St-Exupéry, il y a un petit garçon qui vient d'une autre planète, d'une étoile dans le ciel... Alexander me disait parfois : « Si un jour je ne suis plus là, tu regarderas le ciel et, sur mon étoile, je t'enverrai des baisers... »
Alexander est, comme l'autre Petit Prince, retourné sur son étoile....
Chaque soir, je regarde le ciel, je cherche la Lune, notre amie, et les étoiles pour voir Alexander m'envoyer ses baisers.
Je ne sais pas si vous aimez l'Italie ou pas.
Je ne sais pas non plus exactement pourquoi vous êtes bouleversé (je peux imaginer une raison, mais elle n'est peut-être pas la bonne. J'imagine que ce que j'écris dans le blogue évoque pour vous des émotions, des situations, des moments que vous avez vous-même vécus...). Je ne sais pas non plus pourquoi vous êtes malheureux ; c'est pour cela que je vous disais que, si vous ne voulez pas répondre publiquement, dans les commentaires, vous pouvez m'écrire en privé.
Je n'insiste pas, Alexandre. Je veux simplement vous dire que je VEUX bien comprendre car vous avez pris la peine d'écrire, parce que vous étiez touché par ce que j'ai écrit. Si vous avez envie de dire plus précisément, je veux vous dire que je vous lirai avec beaucup d'attention et que j'essaiera de vous répondre le mieux possible.
Je comprends très bien ce que vous dites au sujet des voeux et des rêves.
J'aime cette citation (je ne sais plus qui est son auteur) : « Visez toujours la lune, si vous la manquez, vous atteindrez au moins les étoiles. »
Merci pour votre gentillesse. Je ne voulais pas vous vexer du tout. La faute est de moi, parce que je pense mon idee, et je ne sais pas exprimer cela.
Je connais bien sur Le Petit Prince.
Je trouve votre histoire d'amour si belle. Et je n'ai pas compris que vous dites.."j'ai eu un amoureux". Je pensais que quand il vit dans le coeur de l'autre, il est toujours vivant. Alors je demandais si on employait ce temps francais du passe compose, parce que Alexander etait sur son etoile maintenant.
Pour l'Italie..Vous dites aussi "ça me rappelle à quel point j'ai aime aussi tout ce qui etait italien".
Et je me suis pose une question qui m'a rendu malheureux. Je ne sais pas pourquoi j'ai pense cela. Peut etre parce que j'apprend a parler et que je suis alors attentif au francais des autres.
J'ai pense que peut etre un autre amour venait de ce pays d'Italie et que c'est impossible n'est ce pas, que un jour vous disiez la meme chose de l'Angleterre d'un ton si leger. Je ne crois pas, parce Alexander represente plus que votre vie pour vous. Voila pourquoi j'etais bouleverse.
Mais je sais aussi que l'amour fait toujours tres mal.
Excusez de m'etre si mal exprime, je crois que je n'osais pas formuler les chose de cette facon, et j'esperais que vous me comprenez quand meme.
Je crois j'ai le meme age que votre Alexander.
C'est bien tres tot pour partir. Je voulais vous dire aussi que le ciel est bien plus beau et emouvant depuis que Alexander habite son etoile.
Alexandre : Merci ! Merci !
Je suis très heureux de lire ces lignes avant de partir pour la journée (je suis en retard). Je vous répondrai mieux tard ce soir. Merci encore. Bonne fin de journée.
J'ai regarde la jolie citation. C'est de Les Brown.
Merci a vous. Bonne journne aussi.
Alexandre : Je vous remercie d'avoir trouvé le nom de l'auteur de la citation.
Je rentre tard, et je suis très fatigué. Je répondrai seulement samedi à votre commentaire, celui dans lequel vous expliquez pourquoi vous étiez bouleversé.
Je vais dormir maintenant avant de dormir devant l'écran de l'ordinateur. À très bientôt.
Alexandre : Je n'ai pas du tout été vexé par vos mots, croyez-moi. Je voulais comprendre à quoi vous faisiez allusion car si je comprenais les mots, je voulais être sûr de comprendre ce qui vous rendait malheureux, surtout si c'étaient des éléments de ma réponse qui vous rendaient malheureux.
Ne vous faites pas de scrupule au sujet de votre facilité à exprimer vos idées : ce n'est pas toujours facile pour moi non plus, et ce n'est pas parce que l'on parle la même langue que l'on se comprend toujours mieux.
Alexander et moi n'avions pas la même langue maternelle, mais, au-delà des mots (que tous les deux nous aimons beaucoup), il y avait, je crois, une compréhension extraordinaire. Il pouvait arriver cependant que des mots sèment l'inquiétude parce que nous nous étions mal exprimé ou, plus souvent, que nous n'avions pas été assez précis.
Je suis vraiment touché de ce que vous dites au sujet de l'amour partagé si intensément avec Alexander. C'est un peu pour cela que j'ai voulu en parler ici, pour que certaines personnes, peut-être, puisse se reconnaître dans certaines émotions, certains sentiments exprimés... Mais ce que j'écris ici est vraiment minime par rapport à ce que nous avons vécu, à ce que nous continuons de partager, à ce que j'aurais envie d'écrire. Il me faudrait au moins trois livres, je crois, pour parler d'Alexander tel que je le connais.
C'est parfois difficile pour moi de choisir pour le blogue quelque chose qui ne sera pas trop long parmi tout ce que je voudrais écrire. Il faut du temps pour écrire, mais je crois qu'il faut encore plus de temps pour écrire plus court.
Alexandre : Je dois publier en plusieurs parties ma réponse à vos commentaires précédents, car Blogger trouve cette réponse trop longue. Voici donc la suite.
Quand j'ai écrit « j'ai eu un amoureux », j'ai hésité ; j'avais d'abord écrit « j'ai un amoureux », puis je me suis dit que certaines personnes comprendraient que j'ai remplacé l'amoureux reparti sur son étoile par un autre qui est ici. Je ne voulais surtout pas donner cette impression car elle est fausse et elle restera fausse.
J'ai beaucoup de mal moi-même avec le passé des verbes lorsque je parle d'Alexander. Pour moi, Alexander est tellement vivant ! Il vit en moi, dans mon coeur, dans mon esprit ; il est partout où je suis...
Je parle au passé de ce qui ne se reproduira plus. Alexander est et restera mon amoureux, même s'il ne m'écrira plus les mots qui plusieurs fois dans la journée m'apportaient tant de bonheur.
Alexander reste vivant pour moi, non dans son écorce terrestre, mais si sa présence n'est pas aussi sensible sur Terre, je crois qu'elle est là, plus subtile. C'est à moi, maintenant, d'essayer de mieux communiquer avec lui dans sa nouvelle dimension.
Je sais qu'il veille sur moi, sur tous ceux qu'il aime, sur ceux qui l'aiment.
« J'ai aimé tout ce qui était italien » ; c'était il y a longtemps, car je m'intéressais aux civilisations grecque et latines. Mon rêve était d'aller en Grèce et puis en Italie. Je n'avais pas encore appris le grec, mais j'ai voulu étudier l'italien... Puis j'ai une soeur qui est mariée avec un Italien, alors je fréquente un peu l'Italie... J'ai aussi une soeur qui est mariée avec un Anglais...
Comme j'avais étudié un peu l'histoire de l'Art, et que l'époque de la Renaissance m'a toujours attiré, j'ai toujours voulu aller en Italie. Je n'y ai jamais été. Je n'ai pas renoncé, mais j'ai décidé de cessser d'être malheureux de ne pas y être encore allé. Je pourrais dire la même chose de quelques autres pays.
Alexandre : Vous avez tout à fait raison de dire qu'Alexander représente pour moi plus (more)* que ma vie. Alexander a fait ressortir en moi, je crois, ce qu'il y a de bon ; il m'a fait partager tant de belles choses, il m'a permis de préciser certains rêves, d'établir un ordre de priorités dans mes projets. Maintenant, il m'appartient de les réaliser.
Je regrette énormément qu'Alexander ne soit pas là pour concrétiser certains projets que nous faisions, mais il y en a un certain nombre que j'essaierai de réaliser, pour lui, pour moi, parce qu'ils correspondent à quelque chose d'essentiel en nous.
La famille « officielle » d'Alexander garde désormais le contrôle sur presque tout ce qui représente son passage sur Terre, mais je me sens dépositaire, avec quelques autres personnes qui l'adorent, de son coeur et de son esprit, de ce qu'il est vraiment, de ce qu'il a voulu...
Vous parlez de son âge, qui est aussi le vôtre. C'est en effet un scandale qu'un être si merveilleux soit parti si tôt. Il ne faut pas attendre de « justice » de la vie. Je ne sais pas si un jour j'arriverai à comprendre pourquoi, mais pour l'instant, je cherche encore à donner, sans me révolter, un sens à son départ si hâtif.
Je vous remercie de ces mots, qui me touchent énormément et qui pour moi sont tellement vrais : « le ciel est tellement plus beau et émouvant depuis qu'Alexander habite son étoile. »
Tous les soirs, toutes les nuits, je regarde le ciel en cherchant son étoile afin de poursuivre avec lui la conversation et recevoir ses baisers.
Je vous remercie pour les explications. J'ai compris. Votre amour est si beau que ce que je lisais ( "j'ai eu", et ce que vous disiez pour l'Italie) ne allait pas avec ce qui m'avait si profondement touched.
Votre explication meme est tellement touchant, et je regrette de ne pas avoir pense les meme deductions pour ca. Mais je suis heureux de avoir ose demande cela.
Merci tellement pour votre patience avec moi.
Alexandre : Je suis heureux, dans la mesure où ce mot a encore un sens, que vous ayez exprimé ce qui vous dérangeait dans une réponse précédente. Ne regrettez surtout pas. Vous m'avez donné l'occasion d'apporter quelques précisions importantes : Merci !
Je n'ai pas besoin d'avoir de patience avec vous, Alexandre. Vos mots me touchent beaucoup car je sens à travers eux que vous aimez Alexander, tout au moins ce que vous découvrez de lui à travers mes mots et peut-être un peu à travers les siens (entre le 10 avril 2008 et juin 2009). Pour être plus précis, c'est l'amour qui existe entre Alexander et moi qui vous émeut et cela me touche énormément.
Alexander était tellement discret qu'il serait un peu embarrassé que je parle autant de lui. Mais je sais qu'il approuverait le fait que je parle de notre amour car c'était pour lui, comme pour moi, ce qu'il y avait de plus précieux au monde, vraiment.
Je vous souhaite, cher Alexandre, de vivre à votre tour cette merveilleuse expérience ; elle ne sera pas la même, forcément, mais elle sera VOTRE expérience. Je crois qu'avant de vivre ce que nous avons partagé, Alexander et moi, nous avions chacun de notre côté été inspirés par d'autres histoires qui nous avaient touchées... Grâce à sa perspicacité et à son initiative, Alexander a su faire en sorte que ce que nous espérions secrètement devienne réel. Quel dommage ce serait si j'étais passé à côté de cette occasion unique ! Alexander est un garçon merveilleux et je serai toujours si reconnaissant d'avoir eu le privi;ège de faire un bout de route avec lui. Mais ce qui compte, c'est de découvrir ce merveilleux qui est en vous et de lui permettre de s'exprimer, en espérant qu'un être sensible sache vous reconnaître...
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