Il pleuvait ce matin et je crois que la pluie a continué toute la journée (je n'ai pas mis le nez dehors depuis le matin et je n'ai pas eu le temps de regarder par la fenêtre). Quand je suis sorti, en fin d'après-midi, pour aller à un rendez-vous, la pluie était arrêtée, mais le ciel encore couvert...
En sortant de mon rendez-vous pour aller faire deux courses tout près de là, j'ai regardé le ciel et je n'ai aperçu aucune étoile. Je n'ai pas besoin des étoiles pour penser à Alexander puisqu'il est en permanence en moi, dans mes pensées, quoi que je fasse, même si je suis avec des clients.
Je ne sais pas ce qu'il en penserait, mais les médias parlaient aujourd'hui d'une décision prise par sa famille, qui suscitera encore l'intérêt au cours des prochains mois. Avant même d'avoir eu le temps de penser à quoi que ce soit, mon coeur s'est mis à battre plus vite en voyant son nom. Cela ne changera surtout rien à ma vie et Alexander me dirait, s'il était là, qu'il se sent lui-même détaché de tout cela. Il me dirait surtout que pour moi il ne voulait être qu'Alexander, un prénom, un coeur, un corps, un esprit, sans nom de famille.
À la Grande Bibliothèque où je me suis arrêté pour y prendre un livre que j'avais réservé il y a deux semaines, j'ai jeté un rapide coup d'oeil sur des rayons de livres. J'ai vu des titres, de nouveaux livres d'auteurs que nous aimions, Alexander et moi... Chaque fois que je vois, que j'entends, que je sens quelque chose que nous avons aimé ou que je sais qu'Alexander aimerait, mon coeur bondit et j'ai vite envie de rentrer chez moi pour venir partager ces découvertes avec lui, comme j'ai tellement partagé depuis avril 2008... Puis je me souviens qu'Internet ne se rend pas sur la Lune, ni sur les étoiles. Je n'ai donc pas besoin de rentrer chez moi en courant : là où je suis, Alexander sait ce qui se passe, ce que je sens...
Je suis sorti de la bibliothèque, persuadé que le ciel était toujours couvert. Puis je suis passé par le parc adjacent à la bibliothèque : sur mon circuit, c'est le meilleur endroit à Montréal, avec les environs de la rue Basset, parce qu'il n'y a pas trop de lampadaires aveuglants, pour scruter le ciel et y chercher le sourire des étoiles. À ma grande joie, elles sont là, au rendez-vous, nombreuses et enjouées. Je me suis arrêté longuement. Poursuivant ma route, je me suis senti guidé par une étoile, comme l'un des rois mages. C'est alors que j'ai vu notre Lune, ronde et dorée. Quand elle est là, entourée d'étoiles, j'ai le sentiment de mieux recevoir les sourires et les baisers d'Alexander.
J'appréhende l'arrivée du mois d'avril, avec toutes les dates significatives. Dès le premier, il y a des anniversaires à souligner. Le 5 avril, Alexander n'aura pas 28 ans ; il aura toujours 27 ans, ou quatre, ou sept, ou quinze... mais il n'aura jamais 28 ans... Puis ce sera le deuxième anniversaire de sa découverte du blogue, de ses premiers messages... Puis ce sera la Saint-Alexandre et l'anniversaire de l'ami Alexander bull... Plus encore que le printemps, il y aura de l'émotion dans l'air.
En sortant de mon rendez-vous pour aller faire deux courses tout près de là, j'ai regardé le ciel et je n'ai aperçu aucune étoile. Je n'ai pas besoin des étoiles pour penser à Alexander puisqu'il est en permanence en moi, dans mes pensées, quoi que je fasse, même si je suis avec des clients.
Je ne sais pas ce qu'il en penserait, mais les médias parlaient aujourd'hui d'une décision prise par sa famille, qui suscitera encore l'intérêt au cours des prochains mois. Avant même d'avoir eu le temps de penser à quoi que ce soit, mon coeur s'est mis à battre plus vite en voyant son nom. Cela ne changera surtout rien à ma vie et Alexander me dirait, s'il était là, qu'il se sent lui-même détaché de tout cela. Il me dirait surtout que pour moi il ne voulait être qu'Alexander, un prénom, un coeur, un corps, un esprit, sans nom de famille.
À la Grande Bibliothèque où je me suis arrêté pour y prendre un livre que j'avais réservé il y a deux semaines, j'ai jeté un rapide coup d'oeil sur des rayons de livres. J'ai vu des titres, de nouveaux livres d'auteurs que nous aimions, Alexander et moi... Chaque fois que je vois, que j'entends, que je sens quelque chose que nous avons aimé ou que je sais qu'Alexander aimerait, mon coeur bondit et j'ai vite envie de rentrer chez moi pour venir partager ces découvertes avec lui, comme j'ai tellement partagé depuis avril 2008... Puis je me souviens qu'Internet ne se rend pas sur la Lune, ni sur les étoiles. Je n'ai donc pas besoin de rentrer chez moi en courant : là où je suis, Alexander sait ce qui se passe, ce que je sens...
Je suis sorti de la bibliothèque, persuadé que le ciel était toujours couvert. Puis je suis passé par le parc adjacent à la bibliothèque : sur mon circuit, c'est le meilleur endroit à Montréal, avec les environs de la rue Basset, parce qu'il n'y a pas trop de lampadaires aveuglants, pour scruter le ciel et y chercher le sourire des étoiles. À ma grande joie, elles sont là, au rendez-vous, nombreuses et enjouées. Je me suis arrêté longuement. Poursuivant ma route, je me suis senti guidé par une étoile, comme l'un des rois mages. C'est alors que j'ai vu notre Lune, ronde et dorée. Quand elle est là, entourée d'étoiles, j'ai le sentiment de mieux recevoir les sourires et les baisers d'Alexander.
J'appréhende l'arrivée du mois d'avril, avec toutes les dates significatives. Dès le premier, il y a des anniversaires à souligner. Le 5 avril, Alexander n'aura pas 28 ans ; il aura toujours 27 ans, ou quatre, ou sept, ou quinze... mais il n'aura jamais 28 ans... Puis ce sera le deuxième anniversaire de sa découverte du blogue, de ses premiers messages... Puis ce sera la Saint-Alexandre et l'anniversaire de l'ami Alexander bull... Plus encore que le printemps, il y aura de l'émotion dans l'air.
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