S'il était exagéré de dire qu'Alexander était à lui seul mon « Paradis perdu », il est à peine suffisant de dire qu'Alexander est et sera toujours pour moi le meilleur guide et le meilleur accompagnateur que j'aurai pu avoir dans cette vie... En perdant sur cette terre mon meilleur guide et compagnon de route vers ce Paradis à peine entrevu, il est fort peu probable que j'atteigne seul ce lieu magnifique où règnent en permanence la beauté, la douceur de vivre, où les sens se marient parfaitement aux joies de l'esprit pour favoriser cet état de bien-être total que l'on peut appeler « bonheur »...
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1 commentaire:
J'avais écrit ces lignes il y a quelques temps déjà... Je ne me souviens plus exactement comment j'avais l'intention de poursuivre, mais j'avais en tête, il me semble, un long commentaire sur le poème de John Milton, « le Paradis perdu », que Chateaubriand, notamment, a traduit de l'anglais.
Tellement de choses sont venues bousculer mon horaire, me bouleverser, depuis le moment où j'ai conçu ce billet, qu'il ne me reste plus qu'un vague souvenir de ce que je voulais dire.
Je publie donc maintenant ces quelques lignes, qui devaient servir d'introduction, ne serait-ce que pour me rappeler qu'il n'est jamais bon de reporter au lendemain ce que l'on pourrait, même au prix d'efforts certains, terminer le jour même.
J'ai tant d'autres projets, comme celui-ci, plus ou moins avancés mais qui ne verront sans doute jamais le jour. À quoi bon, après tout ?
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