mardi 13 novembre 2007

Tout est dépeuplé

Rodin, La cathédrale

« Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé. »
Alphonse de Lamartine

Parfois, j'aimerais simplement connaître le nom de cet absent.

7 commentaires:

Anonyme a dit…

En effet, c'est douloureux de sentir un manque, un vide sans pouvoir y associer un visage, un son, un souvenir...
À moins que l'absent existe déjà à l'intérieur de soi.
Je te souhaite de trouver qui tu cherches Alcib.

Brigetoun a dit…

moi je ne l'ai toujours pas trouvé, ou du moins celui du remplaçant

Anonyme a dit…

Ah, ce vide-là...

Pour l'avoir connu jadis, je te souhaite sincèrement de trouver celui qui te manque tant.

Amitiés.

V à l'Ouest a dit…

Soupirs...

Anonyme a dit…

J'aime beaucoup cet article.

Une seule phrase, très forte, pour souligner la citation.

Ca parle à tout le monde.

J'adore :)

Anonyme a dit…

Je referme le grand livre d'images
Mais je me garde bien de me glisser hors des pages
Je me laisse enfermer dans le musee.
Il fait nuit,
Il fait noir.
Il fait nuit noire maintenant...
Et on dirait comme un filet d'eau qui doucement
S'echappe des feuillets.
Ne me secouez pas,
Je suis plein de larmes...

Alcib a dit…

D'une part, un livre, un titre court, si bien choisi, si évocateur ; des mots qui racontent, des mots qui rassemblent, des images qui se cherchent, des rencontrent qui se font... Des mots encore, des mots qui s'échangent sous la pluie, des coeurs qui battent, des âmes qui se reconnaissent et qui s'unissent, et voilà... Merci !

Un nom s'inscrit, un prénom surtout, et le monde retrouve son sens, les nuits se peuplent de rêves et les jours de poésie... Merci !