En donnant ce titre à son Journal 1940-1943, Julien Green avait en tête la période sombre qui s'annonçait avec la Deuxième Guerre mondiale ; il évoquait sans doute aussi la part d'inconnu que représentait, pour lui personnellement, un exil au pays de ses parents, où il avait vécu durant trois ans au moment de la Première Guerre mondiale et dont il était revenu avec beaucoup de nostalgie mais avec une certitude : bien que né de parents « américains », il était vraiment français.
En mettant de côté la situation politique actuelle, on peut dire que nous sommes en ce moment devant une autre porte sombre : l'arrivée de l'automne, la diminution des heures d'ensoleillement, l'augmentation des jours gris et pluvieux. Et pour certains, l'arrivée de l'automne apporte sa dose d'angoisse à cause du froid, de la pluie et de l'hiver qui, tôt ou tard, montrera le bout de son nez.
Personnellement, l'automne ne me déplaît pas et l'hiver non plus, du moins au début. Je suis conscient toutefois que pour bien des gens les changements de saison ne se passent pas toujours en douceur ; et l'automne est particulièrement difficile pour bon nombre de personnes en raison des longues journées sans lumière. Il semble qu'une personne sur cinq souffre de troubles affectifs saisonniers, liés à la baisse d'intensité de la lumière et à la réduction des heures d'ensoleillement.
En recevant moins de lumière du jour, notre cerveau commencerait à fonctionner comme si c'était la nuit et enverrait aux corps des messages de « préparation du mode sommeil ». Cette perturbation serait d'ordre biologique, et non psychologique, et la coupable en serait une hormone, appelée mélatonine, qui joue un rôle important dans le besoin de sommeil ; la mélatonine, pour préparer au sommeil, exerce sur le corps un effet de fatigue. Nous subissons tous, à des degrés divers, les effets de la réduction de la lumière, sauf que certaines personnes en souffrent assez pour voir leur vie perturbée. Les travailleurs de nuit ou ceux qui vivent dans des endroits où il entre peu de lumière peuvent aussi en souffrir, même en été.
Si, avec l'arrivée de l'automne, vous ressentez les symptômes suivants, il y a bien des chances que vous souffriez de dépresssion saisonnière ou de troubles affectifs saisonniers :
En mettant de côté la situation politique actuelle, on peut dire que nous sommes en ce moment devant une autre porte sombre : l'arrivée de l'automne, la diminution des heures d'ensoleillement, l'augmentation des jours gris et pluvieux. Et pour certains, l'arrivée de l'automne apporte sa dose d'angoisse à cause du froid, de la pluie et de l'hiver qui, tôt ou tard, montrera le bout de son nez.
Personnellement, l'automne ne me déplaît pas et l'hiver non plus, du moins au début. Je suis conscient toutefois que pour bien des gens les changements de saison ne se passent pas toujours en douceur ; et l'automne est particulièrement difficile pour bon nombre de personnes en raison des longues journées sans lumière. Il semble qu'une personne sur cinq souffre de troubles affectifs saisonniers, liés à la baisse d'intensité de la lumière et à la réduction des heures d'ensoleillement.
En recevant moins de lumière du jour, notre cerveau commencerait à fonctionner comme si c'était la nuit et enverrait aux corps des messages de « préparation du mode sommeil ». Cette perturbation serait d'ordre biologique, et non psychologique, et la coupable en serait une hormone, appelée mélatonine, qui joue un rôle important dans le besoin de sommeil ; la mélatonine, pour préparer au sommeil, exerce sur le corps un effet de fatigue. Nous subissons tous, à des degrés divers, les effets de la réduction de la lumière, sauf que certaines personnes en souffrent assez pour voir leur vie perturbée. Les travailleurs de nuit ou ceux qui vivent dans des endroits où il entre peu de lumière peuvent aussi en souffrir, même en été.
Si, avec l'arrivée de l'automne, vous ressentez les symptômes suivants, il y a bien des chances que vous souffriez de dépresssion saisonnière ou de troubles affectifs saisonniers :
- changement des habitudes alimentaires, avec notamment un désir d'aliments sucrés, de féculents, de chocolat
- prise de poids
- baisse de l'énergie
- plus grande sensation de fatigue
- mauvaise humeur, irritabilité
- tendance à dormir plus longtemps que d'habitude
- difficulté à se concentrer
- tendance à vouloir éviter les situations sociales
- sentiments d'angoisse et de désespoir.
Fiat lux !
S'il n'y a pas d'autre cause, psychologique ou autre, à ces symptômes, n'allez pas dépenser une fortune en psychanalyse ou en médicaments. Le traitement pourrait être beaucoup plus simple que vous le croyez. En effet, la luminothérapie est efficace à 80 %.
C'est le Dr Norman E. Rosenthal, psychiatre et chercheur au National Institute of Mental Health, qui a été le premier à démontrer, en 1984, le lien entre lumière et dépression et à définir ce que l'on nomme maintenant la luminothérapie. « C'est en constatant que l'exposition à la lumière artificielle à large spectre pouvait bénéficier aux personnes souffrant de symptômes dépressifs pendant la saison hivernale que Rosenthal a pu démontrer le rôle joué par la luminosité sur les rythmes circadiens et l'humeur, et ainsi définir avec précision cette maladie. Rosenthal a publié de nombreux écrits, études et livres sur le sujet. Il demeure la référence incontournable en la matière. »
Pour bénéficier de la luminothérapie, il suffirait de s'exposer quotidiennement à une lumière à large spectre dont l'intensité varie entre 2 500 et 10 000 lux durant une demi-heure. L'exposition à cette lumière aurait un effet bénéfique sur notre horloge biologique qui régit un certain nombre de nos fonctions, comme la vie sexuelle, le rythme veille/sommeil, l'humeur, la capacité de concentration. Certains s'en servent pour combattre les effets du décalage horaire et l'on dit que la lumière aurait aussi un effet bénéfique sur le traitement de la maladie d'Alzheimer...
Je connais plusieurs personnes (amis, clients, psychologues) qui, souffrant des symptômes associés aux troubles saisonniers, se sont procuré des lampes spécialement conçues pour donner l'intensité lumineuse nécessaire. Il en existe différents modèles ; vous les trouverez sur ce site (français, mais l'équivalent existe au Québec et en Amérique du Nord).
Personnellement, même si je ne souffre pas trop de ces symptômes, j'ai bien l'intention de m'acheter le « simulateur d'aube », qui permet de s'éveiller en douceur, ainsi qu'une lampe de table que j'utiliserai en prenant mon petit déjeuner. Pour être efficace, la lampe doit être placée à la hauteur des yeux, car c'est par les yeux que le cerveau reçoit la lumière ; et même si l'intensité de la lumière est grande, on peut très bien continuer ses activités, que ce soit la lecture, le travail, la télévision... Il existe aussi un modèle de lampe que l'on peut fixer au-dessus de l'écran de l'ordinateur.
Il ne faut évidemment pas confondre ces lampes avec les lampes de bronzages, aux rayons UV ; celles-ci peuvent aussi avoir des effets bénfiques (je connais aussi des personnes qui utilisent les lampes solaires pour maintenir un bronzage et qui disent en tirer aussi un surplus d'énergie et une accélération de leur métabolisme), mais ces effets n'ont rien en commun avec ces lampes recommandées pour la luminothérapie. Et pour ceux qui n'aiment pas l'hiver, dites-vous que l'hiver, surtout lorsqu'il y a de la neige, est généralement plus lumineux que l'automne.
Ajout : À la demande générale, j'ajoute le site d'un distributeur nord-américain. Au Québec (et peut-être au Canada), il semble qu'il n'y ait qu'un distributeur de ces lampes. On peut bien sûr les trouver dans certaines boutiques de matériel orthopédique ; il faudrait vérifier si les prix sont moins élevés dans ces boutiques (je n'en suis pas sûr) : l'avantage, c'est qu'on peut y voir le produit avant de l'acheter. À Montréal, la boutique Medicus, par exemple, boulevard Saint-Laurent, au nord du boulevard Saint-Joseph, offre ces lampes. Autrement, on peut les commander par téléphone (un numéro sans frais) ; on trouvera les renseignements nécessaires et les coordonnées à cette adresse ; on trouvera ici aussi une liste de boutiques qui vendent ces lampes. Vous trouverez ici quelques suggestions de lecture et des liens supplémentaires.
34 commentaires:
remède connu - mais avoir sommeil avec l'automne (le reste relevant de la dépression qui n'a pas de saison) n'est ce pas tout bonnement la nature qui parle en nous ?
Je constate que je dors comme un bébé ces temps-ci et j'en profite! Ce matin, entre autre, réveil spontané vers 10 heures et je sais pertinemment que le brouillard matinal se lève vers 10 hrs... donc: luminothéraphie naturelle dans mon cas, faut dire que je suis en congé auj!
Mais tu me donnes le goût d'en acheter une de petite lampe de chevet comme ça: justement pour les matins de boulot... à suivre!
Très intéressant ! Je pense depuis longtemps m'acheter ce type de matériel, surtout un simulateur d'aube, mais le prix m'en empêche pour le moment. David Servan-Schreiber en parle dans son livre "Guérir le stress, l'anxiété et la dépression sans médicaments ni psychanalyse", au chapitre 7 sur l'énergie de la lumière. C'est très convaincant.
Tiens! J'ai écrit récemment quelque chose sur la lumière. J'y suis particulièrement sensible. Et un de mes amis, psychologue et lecteur de mon blog (qui a d'ailleurs comme surnom "Lux"!), m'a alors parlé de ces lampes de luminothérapie. On peut aussi en louer dans certains magasins spécialisés. C'est certain que je vais m'en procurer une à court terme.
faut absolument que je me trouve quelque chose comme ça. si tu trouves une boutique canadienne sur internet, tu me files l'adresse? merci pour les tuyaux :)
relisant le début du billet il me semble que nous franchissons une autre porte sombre plus proche du sens que lui donnait Green et devant laquelle nos blues personnels même très prononcés perdent de leur pertinence
Comme pour Miss Lulu, je suis intéressé si tu as l'adresse. :)
Oui, Brigetoun, c'est normal au fond de sentir le besoin de ralentir, de dormir un peu plus longtemps quand l'automne arrive, mais certaines personnes ont des « mécanismes » qui réagissent un peu plus fortement que la moyenne des gens.
Il y a le besoin naturel normal, il y a les dépressions saisonnières ou troubles affectifs saisonniers, mais il y a aussi les troubles du sommeil, qui sont aussi très complexes. J'ai eu une cliente qui, avant de savoir ce qui n'allait pas, voulait mourir tant elle souffrait tous les jours d'aller au travail alors qu'elle aurait voulu dormir. Un jour, elle a tout quitté et elle est partie vivre au soleil, en Amérique du Sud ; tout allait bien ; elle ne ressentait plus les symptômes de dépression. Elle y a vécu plus de deux ans, mais un jour, il a fallu qu'elle revienne au Québec. Peu de temps après son retour, ses problèmes ont recommencé. Son médecin l'a envoyé à l'hôpital où elle a été soignée par les spécialistes des troubles du sommeil. Depuis, elle a changé sa vie, son rythme de veille/sommeil, surtout, et elle utilise deux de ces lampes. Et elle peut désormais vivre normalement, à condition de respecter les besoins de son organisme. Le choix était clair : c'était le changement de rythme ou le suicide assuré ; en optant pour le changement de rythme, elle ne souffre plus de dépression.
Béo, cette petite lampe, qu'on appelle « simulateur d'aube », fonctionne dans les deux sens : elle simule un lever de soleil en augmentant progressivement (sur une durée de 30 minutes) l'intensité de la lumière ; elle simule aussi le coucher de soleil pour l'heure du coucher. Mais pour les inquiets, elle est équipée des fonctions normale d'un réveil-matin ;o)
En effet, Fibula, je voulais mentionner David Servan-Schreiber dans ce billet, mais j'ai eu beaucoup de mal avec Blogger au moment où de le rédiger, ce qui m'a fait précipiter la mise en ligne et, du coup, j'en ai oublié de mentionner le livre « Guérir le stress, l'anxiété et la dépression sans médicaments ni psychanalyse », livre que je n'ai pas encore lu, mais que j'ai sur un coin de ma table.
Danaée, merci : je vais aller lire ton billet sur la lumière.
Brigetoun, oui, j'ai pensé à d'autres portes sombres en commençant ce billet, mais je ne voulais pas trop l'alourdir et j'ai voulu en venir plus rapidement à la lumière ;o)
Miss Lulu et Olivier, vous avez dû recevoir mon courriel ; j'ai aussi ajouté le lien à la suite du billet.
Pour le simulateur d'aube, nous en avons trouvé un (après avoir laissé le nôtre à Paris because of 240V) à :
Orthosport Canada
4051 Ste-Catherine Ouest
Westmount QC H3Z 3J8
Tél : 514-939-1702
C'est derrière le Collège Dawson, Métro Atwater, à côté du centre Alexis Nihon.
Je crois qu'ils ont aussi les lampes...
C'est vrai que c'est très bien pour se réveiller...
J'ai l'impression en lisant ton billet que tu fais de la pub pour les marchands de lampes. Non ! Je rigole.
Suis entièrement d'accord avec toi que la lumière joue un rôle important pour notre mental. Et aussi dans l'harmonie de notre environnement.
c/o moi et au bureau j'installe les spots halogènes le plus que je peux.
Tu as raison, Lancelot : je parlais tout à l'heure avec une psychologue qui me faisait remarquer que j'étais toujours conscient de la lumière ; elle avait bien raison aussi : je crois que la lumière, sous toutes ses formes, est importante dans ma vie, qu'elle soit physique, intellectuelle ou spirituelle ;o)
Ça fait longtemps que j'y pense moi-même...
Peut-être serait-il temps...
merci pour ces infos.
xxx
Joss, moi je pensais qu'il suffisait de s'asseoir un peu devant toi pour recevoir la quantité de lumière suffisante ;o)
Avec le changement d'heure ici en métropole, on a l'impression justement le soir d'être devant la porte sombre.
Chaque homme.
En effet, Chaque homme, c'est exactement la réflexion que je me faisais il y a à peine deux minutes. Je rentre d'une course brève dans le quartier (on sent déjà la neige dans l'air) ; si je n'avais pas eu mal au dos, je serais allé faire une plus grande promenade. Mais en rentrant chez moi, j'ai fermé un peu les stores, allumé les lampes, en me disant qu'il n'était même pas dix-sept heures que la nuit déjà s'annonce... Ici, nous en aurons pour cinq ou six mois avant de voir la lumière. Comme le disait Edmond Rostand : « C'est la nuit qu'il est bon de croire à la lumière ».
J'ai toujours su que je souffrais de dépresssion saisonnière et/ ou de troubles affectifs saisonniers...Merde j'ai tout les symptomes de ta liste (Sauf le dernier!!). Depuis 1987 que je me dis que je devrais m'acheter une de ces fameuses lampes dont j'avais vu pour la premiere a une émissions de télé a TQS; Caméra 87. Et finalement la dépression passe mieux avec une dizaine de barres de chocolat! ;-)
Oui, du chocolat, de la musique douce, des gens aimables, un travail humain et décent (du travail tout court), une gestion du stress optimale au quotidien et l'utilité de ces lampes-machin-chose volerait en éclat...dans un monde quasi parfait. A défaut, c'est un palliatif assez ingénieux.
Hervé, je te souhaite, comme à nous tous, de n'avoir pas besoin de ce genre de palliatif (ni d'aucun autre, d'ailleurs) ;o)
Tu es vraiment un amour Alcib,le sais-tu?
;)
Et bien! Et bien! La lumière se promène d'un côté à l'autre de la planète ces temps-ci. Je te visite pour la première fois Alcib. Je trouve que ta page est très esthétique, je découvre des textes intéressants.
Tu donnes beaucoup de détails et de belles photos sur la luminothérapie et ça suscite un engouement généralisé. On cherche tous la joie de vivre!
On devrait peut-être partir une compagnie de distribution de lampes Montréal-Paris (blague...)
Je connais et j'aime beaucoup de chanteuses françaises (Misstinguet, Baker, Piaf, Colette Renard...) mais j'ignorais l'existence de Fréhel et je te remercie de me l'avoir fait découvrir (Quelle intensité dans son regard!)
À la prochaine
Alcib en VRP? Après tout, la technologie qui tue sera celle qui sauve? "simulateur d'aube"?
De fait, nous en sommes à ne pouvoir, et savoir, que simuler - et l'aube devient le même cauchemar que la nuit ou sa veille, crois-tu pas?
Joss, pourrais-tu répéter, s'il te plaît ? Je n'ai pas bien entendu ;o)) Merci, Joss.
Lux, sois le bienvenu. Merci des commentaires élogieux. J'étais allé voir ton blogue, dont m'avait parlé Danaée ; y avais-je laissé un commentaire ? Je ne me souviens plus. J'y retournerai, en passant par chez Danaée puisque tu n'as pas mis le lien vers ton blogue...
En ce qui concerne l'esthétique j'aimerais bien pouvoir changer de décor, mais je n'ai pas beaucoup de temps à y consacrer. Ce manque de temps se réflète aussi dans les textes : je n'ai pas toujours le temps de finir les textes que je commence ou que je voudrais écrire ; le résultat est donc assez inégal...
Fréhel, Damia, Marie Dubas, ... ce sont des noms que j'ai entendus prononcer quand j'étais à Paris, par des personnes qui étaient déjà pas mal plus âgées que moi. C'est donc parfois (souvent) enrichissant de côtoyer des personnes plus âgées, comme il peut être stimulant d'en côtoyer des plus jeunes qui ont des enthousiasmes qui ne sont peut-être déjà plus les nôtres ou qui sont carrément nouveaux...
Cher Anonyme, j'essaie de mettre un nom (ou un pseudo) sur ton commentaire... L'aube annonçant ou renouvelant le cauchemar de la nuit ou de la veille : ce commentaire pessimiste me rappelle quelqu'un ; mais la formulation de la question me fait hésiter à y associer le pseudo qui me vient à l'esprit.
VRP ? J'ai déjà oublié ce que c'était : j'aimerais bien que ce soit « vacances en région parisienne » et ailleurs, mais je nec rois pas que cela soit le cas ;o)
Merci pour les tuyaux. La noirceur de novembre fait des ravages. Je le lis sur des blogues à droite et à gauche. Mais ce n'est que dans le noir que l'on distingue clairement les sources de lumière.
Excellente idée que ce billet, Alcib. En passant, j'ai vu des simulateur d'aube chez Jean Coutu.
Alors : merci Docteur
Alors Alcib,
Tu écris que tu es allé me lire sur mon blog et que tu n'as pas retrouvé l'adresse... Je ne suis pas surpris, car je n'ai pas de blog. Mais je me permets paresseusement d'écrire mes idées et réactions sur les blogs des autres, dont celui de Danaée.
Je n'ai pas encore le courage de m'astreindre à créer et alimenter régulièrement mon propre blog, quoique... je constate à te fréquenter que c'est possible de laisser ses lecteurs sur leur appétit, même entre le 24 octobre et le 7 novembre [petite pointe amicale]
Also Alcib, Wo bis du? où es-tu? Serais-tu perdu entre la lumière et la porte sombre? En t'attendant, je profite des deux radioblog de Fréhel: quelle voix profonde et chaude! Aurais-tu par hasard des extraits chantés par Jean Gabin?
À bientôt?
Coorection : le texte exact de la citation d'Edmond Rostand est : Comme le disait Edmond Rostand : « C'est la nuit qu'il est beau* de croire à la lumière » (*« beau » et non pas « bon »)
Merci vous êtes le seul a donner des endroits ou se procurer les lampes.
Geneviève
Geneviève : Merci. Et bienvenue. J'espère avoir pu vous être utile.
4 ans plus tard, ton billet est encore utile. Je viens d'acheter la TraveLITE chez l'un des distributeurs que tu as mentionnés. :-)
On verra bien ce que ça donne.
Kevin Zaak : Je suis content que l'information puisse encore être utile à quelqu'un, même après quatre ans.
Je pense que les résultats doivent se faire sentir peu à peu et qu'il n'est peut-être pas facile de mesurer l'efficacité d'un jour à l'autre. Mais les témoignages positifs sont si nombreux et les spécialistes des maladies du sommeil recommandent souvent la luminothérapie à leurs patients.
Il y a quelques jours encore je rencontrais une amie qui, dès que l'automne arrive, utilise tous les matins l'une de ces lampes. Elle utilise aussi le simulateur d'aube pour se réveiller, peu importe la saison.
Je souhaite que tu en retires les plus grands bienfaits.
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