Vous vous souvenez de cet excellent film de Claude Lelouch, « La bonne année » ? Lino Ventura y tient le rôle d'un grand cambrioleur qui, après avoir passé six mois en prison, tente de reconquérir le coeur d'une femme dont il était amoureux, incarnée par Françoise Fabian. L'histoire se déroule pratiquement dans un lieu unique : à gauche de la scène, une boutique d'antiquaire tenue par la femme à conquérir ; à droite, la boutique d'un grand bijoutier, autre sujet d'intérêt pour le personnage incarné par Ventura.
Les images de ce film me sont revenues à la mémoire ce soir au moment où je consultais le site de notre ami Thomas, jeune photographe de Bruxelles. Je parcours les diverses catégories des images qu'a prises Thomas ces dernières années et j'ai le sentiment de me trouver chez Cartier ou chez Van Cleef & Arpels ; j'aurais envie de tout saisir et de partir avec ses images plein les poches et plein la tête. J'ai de grands rêves mais peu d'ambitions : je me contenterai de graver dans ma mémoire quelques belles photos et d'en choisir une parmi toutes pour l'afficher ici. « Choisir, c'est exclure », disait Gide ; c'est donc renoncer, du moins temporairement, à tout ce que l'on n'a pas choisi. J'ai donc volé à Thomas l'image suivante mais, contrairement au personnage de « La bonne année », je joue ici à visage découvert : si Thomas veut m'envoyer la brigade criminelle (des images du Quai des Orfèvres me reviennent, puis de la Meuse, à Liège, le long de laquelle j'ai mis mes pas dans ceux de Simenon), il saura où me trouver.
Les images de ce film me sont revenues à la mémoire ce soir au moment où je consultais le site de notre ami Thomas, jeune photographe de Bruxelles. Je parcours les diverses catégories des images qu'a prises Thomas ces dernières années et j'ai le sentiment de me trouver chez Cartier ou chez Van Cleef & Arpels ; j'aurais envie de tout saisir et de partir avec ses images plein les poches et plein la tête. J'ai de grands rêves mais peu d'ambitions : je me contenterai de graver dans ma mémoire quelques belles photos et d'en choisir une parmi toutes pour l'afficher ici. « Choisir, c'est exclure », disait Gide ; c'est donc renoncer, du moins temporairement, à tout ce que l'on n'a pas choisi. J'ai donc volé à Thomas l'image suivante mais, contrairement au personnage de « La bonne année », je joue ici à visage découvert : si Thomas veut m'envoyer la brigade criminelle (des images du Quai des Orfèvres me reviennent, puis de la Meuse, à Liège, le long de laquelle j'ai mis mes pas dans ceux de Simenon), il saura où me trouver.
Je me suis rendu compte ces dernières semaines que le lien du photoblogue de Thomas ne fonctionnait plus ; je lui ai envoyé hier un court message et, dès ce matin, Thomas me donnait l'adresse du tout nouveau site qu'il s'est offert, avec de nouvelles photos, du texte, un livre d'or, etc. Je corrigerai le lien dans ma liste, dans la colonne de droite. À explorer longuement : toutes les photos sont superbes mais, si vous aimez par exemple les images lumineuses, pleines de lumière mordorée, vous aimerez celles de Marrakesh.
On peut aussi aller directement aux photos que Thomas publie sur Flickr, à cette adresse.
Autre sujet : Depuis quelques jours, j'essayais, sans résultat, de joindre au téléphone Hugo, mon ancien voisin et toujours ami, qui m'a beaucoup inspiré avant que je n'entreprenne ce blogue et qui, même à distance, reste très présent ; je l'évoquais, entre autres, à la fin de ce billet. Je pouvais bien avoir du mal à le joindre : il est en Alaska, sur un bateau de croisière. Je viens de lui parler sur MSN ; je croyais pouvoir l'inviter à dîner la semaine prochaine. Il acceptera mon invitation, mais ce ne sera pas avant longtemps car, après l'Alaska, il part pour le Brésil.
On peut aussi aller directement aux photos que Thomas publie sur Flickr, à cette adresse.
Autre sujet : Depuis quelques jours, j'essayais, sans résultat, de joindre au téléphone Hugo, mon ancien voisin et toujours ami, qui m'a beaucoup inspiré avant que je n'entreprenne ce blogue et qui, même à distance, reste très présent ; je l'évoquais, entre autres, à la fin de ce billet. Je pouvais bien avoir du mal à le joindre : il est en Alaska, sur un bateau de croisière. Je viens de lui parler sur MSN ; je croyais pouvoir l'inviter à dîner la semaine prochaine. Il acceptera mon invitation, mais ce ne sera pas avant longtemps car, après l'Alaska, il part pour le Brésil.
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