« You can shed tears because he is gone
or you can smile cause he has lived »
or you can smile cause he has lived »
« On peut pleurer son départ ou
on peut sourire parce qu'il a vécu. »
on peut sourire parce qu'il a vécu. »
Je crois en effet qu'il faut sourire parce qu'il a vécu, parce que durant son trop court séjour sur Terre, il aura transformé sur son passage quelques êtres, dont je fais partie. Quand on a vraiment connu Alexander, on ne peut plus se contenter d'exister et de mener sa vie sans être profondément engagé, sans être cohérent avec soi-même, avec ses propres valeurs.
Mais comment ne pas pleurer son départ quand on l'a connu et qu'il n'est plus là, que sa présence n'est plus sensible ?
Un jour que je lui disais qu'il était pour moi comme un Petit Prince qui aurait grandi et qui serait resté parmi nous, il me répondit : « Ne me parle pas de cela : j'ai tellement pleuré chaque fois que j'ai lu le passage du départ du Petit Prince ! »
Si on peut pleurer à la lecture du Petit Prince du conte de Saint-Exupéry, on pourra comprendre que l'on puisse pleurer et pleurer encore après le départ d'un Petit Prince que l'on a vraiment connu sur Terre.
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