Chaque année, c'est la même chose : je m'aperçois au matin du 24 décembre, que nous sommes à la veille de Noël et que je n'ai pratiquement rien accompli de ce que je me promettais de faire avant d'aller réveillonner en famille. Mon psychanalyste, si j'en avais un, donnerait sûrement une excellente explication à cela...
Je n'ai pourtant pas été inactif : à l'exception des moments de grande fatigue où je me suis contenté de lire ou de regarder quelques films et séries d'émissions britanniques, il me semble avoir été assez occupé ces dernières semaines. Il faut croire que, sur ma liste d'activités, peu d'entre elles concernaient la préparation de Noël. Cela pourrait s'expliquer, je crois, par le fait que je pense davantage aux célébrations de Noël auxquelles je voudrais participer qu'à celles que je connaîtrai vraiment...
Des amis très chers sont encore terriblement éprouvés et pour eux cette fête ne ressemblera en rien aux célébrations qu'ils ont connues dans le passé. « Ne pensez pas à nous, soyez heureux », m'écrivait quelqu'un il y a quelques jours. Je reste sans nouvelles d'autres personnes que j'aime beaucoup. Je penserai aux uns et aux autres en souhaitant à chacun un peu de calme, de réconfort et beaucoup d'amour. Je me réjouirai avec ceux qui sont joyeux et je serai de tout mon cœur avec ceux pour qui ces moments de réjouissances sont plus difficiles et plus douloureux.
J'ai reçu de certains lecteurs et lectrices fidèles de très beaux et très émouvants messages personnels auxquels je répondrai ; en attendant ma réponse personnelle, qu'ils en soient publiquement remerciés. Un ami lointain vient de m'appeler. Je me prépare à aller rejoindre certains membres de ma famille... Peu à peu, j'entre dans l'esprit de Noël.
Ce matin, au moment où j'allais ouvrir les stores du salon, j'ai entendu un bruit à la fenêtre, comme si quelqu'un voulait entrer (j'habite un appartement au sixième étage). Puisque le store de ce côté était à moitié fermé, il m'a fallu un petit moment avant d'apercevoir, perchés sur le bord de la fenêtre, deux oiseaux que je ne connais pas et que je n'ai jamais vus d'aussi près (ce n'étaient ni des mouettes, ni des pigeons, ni des mésanges ou des moineaux). Je suis resté plusieurs minutes à les observer faire leur toilette et se chauffer au soleil. Je veux croire qu'ils étaient porteurs d'un message de paix et de tendresse.
Je souhaite à tous, à chacun de vous, de très joyeuses fêtes, sous le signe de la sérénité, de la joie, de l'amour et du partage. Que la tendresse accompagne chacune de vos pensées, chacune de vos paroles, chacun de vos gestes.
Alexander avait depuis longtemps fait sienne cette règle de vie qui peut englober toutes les dimensions de la vie terrestre ; il en était lui-même une excellente illustration : « Bonne pensée. Bonne parole. Bonne action. »
Des amis très chers sont encore terriblement éprouvés et pour eux cette fête ne ressemblera en rien aux célébrations qu'ils ont connues dans le passé. « Ne pensez pas à nous, soyez heureux », m'écrivait quelqu'un il y a quelques jours. Je reste sans nouvelles d'autres personnes que j'aime beaucoup. Je penserai aux uns et aux autres en souhaitant à chacun un peu de calme, de réconfort et beaucoup d'amour. Je me réjouirai avec ceux qui sont joyeux et je serai de tout mon cœur avec ceux pour qui ces moments de réjouissances sont plus difficiles et plus douloureux.
J'ai reçu de certains lecteurs et lectrices fidèles de très beaux et très émouvants messages personnels auxquels je répondrai ; en attendant ma réponse personnelle, qu'ils en soient publiquement remerciés. Un ami lointain vient de m'appeler. Je me prépare à aller rejoindre certains membres de ma famille... Peu à peu, j'entre dans l'esprit de Noël.
Ce matin, au moment où j'allais ouvrir les stores du salon, j'ai entendu un bruit à la fenêtre, comme si quelqu'un voulait entrer (j'habite un appartement au sixième étage). Puisque le store de ce côté était à moitié fermé, il m'a fallu un petit moment avant d'apercevoir, perchés sur le bord de la fenêtre, deux oiseaux que je ne connais pas et que je n'ai jamais vus d'aussi près (ce n'étaient ni des mouettes, ni des pigeons, ni des mésanges ou des moineaux). Je suis resté plusieurs minutes à les observer faire leur toilette et se chauffer au soleil. Je veux croire qu'ils étaient porteurs d'un message de paix et de tendresse.
Je souhaite à tous, à chacun de vous, de très joyeuses fêtes, sous le signe de la sérénité, de la joie, de l'amour et du partage. Que la tendresse accompagne chacune de vos pensées, chacune de vos paroles, chacun de vos gestes.
Alexander avait depuis longtemps fait sienne cette règle de vie qui peut englober toutes les dimensions de la vie terrestre ; il en était lui-même une excellente illustration : « Bonne pensée. Bonne parole. Bonne action. »
7 commentaires:
Joyeux Noël, Alcib!
Rêve blanc : Merci. À toi de même.
Joyeux Noël mon cher Alcib, et grosses grosses bises de la part de nous trois.
Joyeux Noël, Dr. CaSo et les coquines.
Bon petit voyage vers la chaleur. Tu renaîtras sans doute des cendres de Phoenix !
Des bises vitaminées à vous trois.
On dit souvent qu'il faut profiter de la période de Noël pour se tourner vers soi et méditer sur sa vie. D'après moi, tu médites déjà depuis longtemps. Alors je te souhaite pour ces jours de Nativité de recevoir de nombreuses marques concrètes de chaleur, d'affection et d'amour.
Je te souhaite aussi d'en profiter pleinement, le coeur ouvert...
Joyeux Noël et très Heureuse Nouvelle Année mon ami
Lux
Plus j'avance en âge, et plus je suis loin des festivités auxquelles je participais au Québec; plus Noël arrive presque comme un cheveu sur la soupe, hihihi!
Rien de dramatique en soi mon cher Alcib. Je préfère ça à l'attitude de ceux qui se braquent dès la sortie des décorations en magasin, hihihihi!
J'espère que tu as un petit répit jusqu'après le Jour de l'An, je t'embrasse!
Lux : Merci encore de ces mots vraiment très aimables et de tes voeux très chaleureux.
Je crois avoir été le plus présent possible avec ceux qui étaient là, physiquement, sans oublier ceux qui sont loin et même sur une autre étoile.
Je devais me retenir pour ne pas parler seulement d'Alexander. Même à travers l'espace, les oreilles ont tout de même dû lui bourdonner souvent.
Je vais répondre, probablement ce soir, à ton courrier personnel. J'espère pouvoir trouver les mots pour être à la hauteur.
Béo : Je n'ai pas essayé de résister non plus, cette année. Je pense avoir été, avec la famille, l'un de ceux qui étaient les plus, sans éclats, dans l'esprit du moment.
Je ne pouvais tout de même pas ne pas penser à tous les absents.
Je voulais profiter de ces quelques jours pour faire le point et pour écrire un peu. Je ne sais pas si j'y arriverai.
Pour l'instant je vais me faire du thé et regarder un film dont une grande partie de l'action se passe à Oxford et dans une grande famille que l'on pourrait, d'un point de vue extérieur, croire privilégiée. Je ne pourrai m'empêcher de penser à quelqu'un qui est passé par là...
J'espère que ton mari, Loukoum et toi avez passé un beau Noël.
Merci de ta présence. Je t'embrasse. Un câlin à Loukoum pour nous.
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