Caricature de Serge Chapleau Journal La Presse
Il doit bien cela à son grand ami Jean Charest qui a grand besoin d'aide ces temps-ci. Ça sent la fin de régime (c'est-à-dire : très mauvais).
Que vous arriviez ici par hasard ou parce qu'on vous en a indiqué le lien, soyez le bienvenu. Vous n'y trouverez cependant rien de croustillant, de spectaculaire ou quoi que ce soit qui ait un lien avec la mode ou même l'actualité criante...
4 commentaires:
Héhéhé ! ;-)
Richard : Il en profitera sûrement pour rendre visite à son autre ami, l'oncle Paul qui, au fond, est le vrai parrain du Québec, le marionnettiste de la droite fédéraliste, le vrai patron de Jean Charest.
Ces récipiendaires de la Légion d'honneur croient-il vraiment qu'il suf fit de recevoir une décoration pour devenir honorables ?
Quelle prémonition n'est-ce pas?
Mais il ne faut pas oublier qu'on peut aussi donner un mandat provincial au maire Labeaume.
En ce qui concerne les patrons fédéraux, chaque journée nous montre l'exécution aveugle du pouvoir par la bête conservatrice. Et dire que Harper n'est élu que depuis un an...
Ça donne le goût de pleurer des larmes de sang.
Désolé de tacher ton blog avec la politique, mais tu as ouvert la porte, n'est-ce pas?
Tout de même, comme toi, j'essaie de garder une petite gêne, contrairement à nos deux terribles paliers de gouvernement. Heureusement, on va pouvoir recycler le Québec d'ici un an, j'espère.
À par toutes ces tristes considérations, je t'envoie mes pensées amicales.
Lux
Lux : Merci de ton passage, de ton commentaire, de ta fidélité, de ton amitié.
J'imagine que vous avez souligné en famille ce dimanche de la Fête des Mères.
Je n'ai pas renoncé pour toujours à parler de politique dans ces pages, mais c'est tellement désespérant de voir ce qui ce passe en ce moment, tant à Montréal, avec le maire Tremblay qui n'est jamais au courant de rien, à Ottawa, avec un dictateur qui ne respecte rien ni personne, à Québec, où le seul signe que le premier ministre ait une tête, c'est que l'on puisse dire qu'il a une tête de cochon (pardon pour les cochons, que j'aime et que je respecte).
J'espère en effet que d'ici un an, nous serons débarrassés à jamais de ce gouvernement de poules mouillées, le plus corrompu que le Québec ait connu depuis des décennies.
Le petit président déchu aurait peut-être venu se faire consoler au château de son grand ami Paul Desmarais (la Légion d'honneur, ça mérite bien une invitation au château de Charlevoix).
Ce qui me console un peu, outre la joie de voir le petit président déchu (le seul de la Ve République à ne pas avoir été élu pour un deuxième mandat), c'est que notre Jean Charest, avec sa Légion d'honneur aussi, pourra rejoindre son ami Sarko au château de Desmarais. Pour une rare fois que l'argent n'achète pas tout !
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