Joyeux anniversaire, Guillaume !
L'ampleur de la fête n'a pas dû égaler celles que donnait Louis XIV quand il y était, car mon ami Guillaume, qui célébrait ce 25 novembre un anniversaire de naissance, recevait des amis, mais il devait aller dormir assez tôt car il reprenait le travail dimanche matin, 26 novembre. Même s'il lui reste quelques années avant d'atteindre la trentaine, Guillaume aime bien arriver au travail en forme et, par conséquent, dormir le nombre d'heures nécessaire.
La dernière fois que j'ai vu Guillaume, c'était chez lui, à Versailles, il y a déjà 5 ans. Nous nous étions levés tôt car nous voulions visiter le château ; nous n'avions pas pu le faire car les employés étaient en grève. Nous avions remplacé la visite du château par celle de ses jardins. Puis nous nous étions dirigés vers cette statue équestre de Louis XIV devant laquelle nous avions donné rendez-vous à Sébastien, venu de Plaisir pour déjeuner avec nous. Nous avions mangé des crêpes et bu du cidre ; puis Sébastien avait repris le train pour rentrer chez lui. Guillaume et moi étions partis chez lui pour ramasser mes valises, puis il m'avait conduit à la gare où, en fin d'après-midi, je prenais le train pour Paris. Je dînais le soir chez un ami et le lendemain, très tôt, je quittais ma chambre près de l'Opéra Garnier pour me diriger vers l'aéroport...
Guillaume, il faudra que je revienne avant que tu ne quittes Versailles, car je n'ai pas encore visité le château. En attendant, tous mes meilleurs voeux.
La dernière fois que j'ai vu Guillaume, c'était chez lui, à Versailles, il y a déjà 5 ans. Nous nous étions levés tôt car nous voulions visiter le château ; nous n'avions pas pu le faire car les employés étaient en grève. Nous avions remplacé la visite du château par celle de ses jardins. Puis nous nous étions dirigés vers cette statue équestre de Louis XIV devant laquelle nous avions donné rendez-vous à Sébastien, venu de Plaisir pour déjeuner avec nous. Nous avions mangé des crêpes et bu du cidre ; puis Sébastien avait repris le train pour rentrer chez lui. Guillaume et moi étions partis chez lui pour ramasser mes valises, puis il m'avait conduit à la gare où, en fin d'après-midi, je prenais le train pour Paris. Je dînais le soir chez un ami et le lendemain, très tôt, je quittais ma chambre près de l'Opéra Garnier pour me diriger vers l'aéroport...
Guillaume, il faudra que je revienne avant que tu ne quittes Versailles, car je n'ai pas encore visité le château. En attendant, tous mes meilleurs voeux.
3 commentaires:
J'aime beaucoup Versailles, que je connais bien. Je revisiterais volontiers le château... un bon sujet pour le blogue! :-)
Je ne sais plus où j'ai lu que les statues équestres étaient très codifiées. Une patte en l'air pour le cheval, par exemple, a une signification (que j'ai oubliée, bien entendu).
J'aime beaucoup Versailles aussi. Je ne connais pratiquement que les jardins du château et quelques rues de la ville. J'en garde de très bons souvenirs. En plus du plaisir d'y revoir Guillaume, j'aimerais bien passer quelques jours à découvrir la ville où, il me semble, je pourrais vivre... à condition d'avoir, comme Jeanne Moreau, un chauffeur avec Rolls ;o))
Oui, tu as raison, Olivier, au sujet des codes ; je ne me souviens pas où j'ai vu cela, mais je me souvient avoir lu ou entendu quelque chose à ce sujet ; à « Des Racines et des Ailes », peut-être...
Enregistrer un commentaire