Ceux qui me connaissent ou qui m'ont déjà rencontré au moins une fois me reconnaîtront bien dans ce portrait.
J'ai du mal en ce moment à m'intéresser à ce blogue... et aux autres. Je lis pourtant ceux qui apparaissent dans ma liste, à droite, plus quelques autres. Je ne laisse pas beaucoup de commentaires parce que je n'ai pas grand-chose à dire. J'ai toutefois, aujourd'hui, tenté de laisser quelques lignes chez certains et même, dans deux ou trois cas, des commentaires plus élaborés : aucun de ces deux (ou trois, je ne sais plus) n'a été publié car des problèmes techniques sont survenus au moment d'enregistrer les commentaires. Résultat : mes profondes rélexions se sont perdues.
La frustration la plus grande vient pourtant de la perte d'un long texte que j'ai rédigé en réponse à un courriel reçu et qui demandait mon opinion sur un sujet dont on parle assez souvent dans les blogues des collègues français vivants au Québec et de ceux qui y sont venus et qui maintiennent un quelconque intérêt pour ces quelques arpents de neige : la langue des Québécois.
Le sujet me semblait trop vaste pour que j'entreprenne d'exprimer mon opinion à ce sujet, surtout quand je suis déjà fort occupé par bien d'autres dossiers. Ce soir, cependant, j'ai voulu répondre à un lecteur qui m'avait posé la question il y a déjà quelque temps et qui m'écrivait encore pour me poser deux brèves questions qui demandaient une réponse très simple. En lui donnant l'information voulue, j'ai amorcé une réponse à la question de la langue et je ne sais pas où j'ai trouvé cette énergie pour exprimer ma pensée sur ce sujet qui est loin de me laisser indifférent, mais j'ai rédigé une réponse très élaborée.
En écrivant, je ne me rendais pas compte du temps qui passait. Mais au moment d'envoyer ma réponse, mon service de messagerie m'a affiché un message d'erreur et... j'ai tout perdu !!! C'est alors que j'ai regardé l'heure et que je me suis rendu compte que cette réponse m'avait pris presque trois heures. Je n'ai pas eu le courage de recommencer. Mais j'avais perdu trois heures et il ne restait absolument rien de ces trois heures consacrées à une réflexion sérieuse sur un sujet important. Après quelques heures employées à faire autre chose, j'avais besoin d'exprimer ici cette frustration.
Oui, je sais : je pourrais d'abord écrire mes commentaires dans un traitement de texte puis les recopier dans la fenêtre d'enregistrement du commentaire ; de me le faire redire ne changera rien au fait que j'ai écrit pour rien et ne m'apprendra rien non plus. J'exprime simplement ma frustration pour pouvoir me souvenir, d'ici quelques jours ou quelques semaines, que s'il ne me reste rien de bon de ce dimanche, ce n'est pas parce que je n'aurai rien fait.
J'ai du mal en ce moment à m'intéresser à ce blogue... et aux autres. Je lis pourtant ceux qui apparaissent dans ma liste, à droite, plus quelques autres. Je ne laisse pas beaucoup de commentaires parce que je n'ai pas grand-chose à dire. J'ai toutefois, aujourd'hui, tenté de laisser quelques lignes chez certains et même, dans deux ou trois cas, des commentaires plus élaborés : aucun de ces deux (ou trois, je ne sais plus) n'a été publié car des problèmes techniques sont survenus au moment d'enregistrer les commentaires. Résultat : mes profondes rélexions se sont perdues.
La frustration la plus grande vient pourtant de la perte d'un long texte que j'ai rédigé en réponse à un courriel reçu et qui demandait mon opinion sur un sujet dont on parle assez souvent dans les blogues des collègues français vivants au Québec et de ceux qui y sont venus et qui maintiennent un quelconque intérêt pour ces quelques arpents de neige : la langue des Québécois.
Le sujet me semblait trop vaste pour que j'entreprenne d'exprimer mon opinion à ce sujet, surtout quand je suis déjà fort occupé par bien d'autres dossiers. Ce soir, cependant, j'ai voulu répondre à un lecteur qui m'avait posé la question il y a déjà quelque temps et qui m'écrivait encore pour me poser deux brèves questions qui demandaient une réponse très simple. En lui donnant l'information voulue, j'ai amorcé une réponse à la question de la langue et je ne sais pas où j'ai trouvé cette énergie pour exprimer ma pensée sur ce sujet qui est loin de me laisser indifférent, mais j'ai rédigé une réponse très élaborée.
En écrivant, je ne me rendais pas compte du temps qui passait. Mais au moment d'envoyer ma réponse, mon service de messagerie m'a affiché un message d'erreur et... j'ai tout perdu !!! C'est alors que j'ai regardé l'heure et que je me suis rendu compte que cette réponse m'avait pris presque trois heures. Je n'ai pas eu le courage de recommencer. Mais j'avais perdu trois heures et il ne restait absolument rien de ces trois heures consacrées à une réflexion sérieuse sur un sujet important. Après quelques heures employées à faire autre chose, j'avais besoin d'exprimer ici cette frustration.
Oui, je sais : je pourrais d'abord écrire mes commentaires dans un traitement de texte puis les recopier dans la fenêtre d'enregistrement du commentaire ; de me le faire redire ne changera rien au fait que j'ai écrit pour rien et ne m'apprendra rien non plus. J'exprime simplement ma frustration pour pouvoir me souvenir, d'ici quelques jours ou quelques semaines, que s'il ne me reste rien de bon de ce dimanche, ce n'est pas parce que je n'aurai rien fait.
11 commentaires:
Cela n'arrive pas qu'à moi, c'est bien. mais je ne sais pas si savoir que tu n'es pas le seul, t'aidera...
Bienvenue Tofsi. De savoir que je ne suis pas seul ne règlera pas le problème, mais ça peut m'aider à croire que ce n'est pas un mauvais karma que je porte ;o)
ho non ...
même à moi et encore à moi :o)
je poste directement sans brouillon aussi
mais peut être que c'est bien que les mots s'echappent
je ne sais pas
un sentiment que nous avons souvent - moi c'est sur le blog d'un bonhomme dont vous n'avez sans doute pas entendu parler Jean Luc Mélenchon, dont je commence à me rapprocher politiquement qu'un commentaire élaboré a disparu trois fois (sur Chavez) avant que je renonce (sans compter les photos sur le nouveau Blogger).
Vous ressemblez vraiment au beau dessin ? sourire
La langue parlé au Quebec : ravissement des français
Argh, quelle horreur. Quand ce genre de chose m'arrive, je n'ai plus le courage d'écrire pendant au moins 3 jours :)
Et puis ce genre de passage où l'on ne souhaite pas écrire ou répondre des commentaires arrive à tout le monde. Certains s'y contraignent même s'ils n'en ont pas envie. D'autres pas. La seule personne que ça embête réellement est probablement... toi-même.
Ah lala mon pauvre Alcib! C'est méga frustrant de pareilles mésavantures :(
Je compatis et te souhaites néamoins une belle journée :)
Bon, quoi te dire ? Que je te crois quand tu écris cela, déjà ! Ensuite que c'est effectivement très frustrant d'écrire une note ou un commentaire (plutôt élaboré)et de le perdre. Parfois, un retour à la page précédente (accompagné d'une petite prière) peut sauver l'oeuvre en péril ...
cela m'est arrivé si souvent, notamment en rédigeant de notes de blogs... toute cette matière grise gaspillée sans que l'humanité en bénéficie. Oui les Québécois ont une langue. Ils ont aussi un nez, des oreilles, tout ça...
Oh! Que je te comprends!
Et il n'y a rien à faire. Au moins, tu nous en parles ici. C'est déjà ça.
Bien le bonjour, en tout cas. Porte-toi bien!
Ah ! Mais que j'ai horreur quand mon billet, mon rapport ou ce que je donne la peine pour écrire disparaisse en fumée par la faute d'un abruti de PC !!! Arghhhhhhhhh.
Je connais... et je n'avais jamais encore pensé à percer mon bureau avec on clavier!
Je garde l'idée pour l'après tendinite!
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