À Montréal, les libraires ont l'habitude en ce jour d'offrir une rose à l'achat d'un livre. Comme la chaîne des librairies Renaud-Bray ne participe pas à cet événement (il faudrait demander pourquoi à Pierre Renaud), c'est une excellente occasion d'aller encourager un libraire indépendant.
Et, comme il fait beau, c'est le moment d'aller s'installer quelque part, au grand air, et de se plonger dans les pages de son nouveau livre.
Et, comme il fait beau, c'est le moment d'aller s'installer quelque part, au grand air, et de se plonger dans les pages de son nouveau livre.
5 commentaires:
T'es pas bavard pour un sous aujourd'hui. Et puis dis nous: as tu acheté un livre ? Amitiés.
Comment ça, pas bavard, Lancelot ? Il y a un mois que je suis incapable d'écrire et c'est aujourd'hui, où j'écris 3 lignes positives, que tu me dis que je ne suis pas bavard ? ;o)
ça devient de plus en plus difficile de mettre un commentaire chez vous Alcib. Je crois que je vais y rennoncer.
A part ça je suis furieuse contre moi parce qu'avec nos élections cette journée m'est passée totalement inaperçue
C'est bien que vous recommenciez à écrire. ;-)
J'ai acheté un livre, mais cette fois c'était pour une amie qui subira une sévère opération. Je lui ai aussi offert la rose.
Merci, Sylvia, de ce commentaire. Je suis désolé de ne pas pouvoir répondre toujours aux commentaires laissés. J'ai encore du mal à écrire, du moins sur ce blogue, mais pas seulement.
Mes pensées les plus lumineuses pour votre amie qui subira une opération. Je suis persuadé que le don d'une rose, venant de vous, lui aura déjà fait un grand bien.
Je n'ai pas acheté de livre récemment ; je dois d'abord faire un peu de place (dans l'appartement, dans ma tête, dans mon coeur...).
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