... la vie éclate.
Voilà, c'est fait ! Comme le Phénix (Phoenix) qui renaît de ses cendres, « Olivier - un Français au Québec » n'est plus, mais Olivier de Montréal vit de nouveau sur la place publique depuis ce samedi 8 avril 2006. Les cendres n'auront pas eu le temps de tiédir, voilà que l'Olivier reparaît, plus vif et plus rayonnant encore.
Il est passé chez DotClear, qui me semble la meilleure plate-forme existante. J'y serais déjà si j'avais eu le temps d'apprendre un peu mieux à gérer la technologie minimale qui permet de concevoir un site qui ne soit pas seulement beau, mais qui réponde aussi aux besoins que l'on développe avec le temps.
Je finirai par rassembler mon courage et par inscrire au haut de ma liste de priorités cette migration vers un ciel plus agréable, plus convivial et plus fonctionnel de la blogosphère.
En attendant, j'essaierai de retrouver un peu plus de tranquillité et de concentration pour reprendre le rythme de mes publications. J'ai déjà quelques ébauches de textes qui attendent.
dimanche 9 avril 2006
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13 commentaires:
C'est vrai que c'est bien, DotClear... mais j'aurai sans doute le temps de m'y mettre dans ma prochaine vie... :-)
Mais tu n'en as pas besoin encore dans cette vie, René. C'est déjà très bien chez toi. Avec les images, la musique, la vidéo, en plus des textes, ton blogue est déjà très intéressant et très accueillant.
Oh ! merci, Alcib !
moi j'admire et j'en reste à mon stade. Pour une femme du 18ème siècle ça peut aller. Mais j'aurais été plus jeune ...
Très très brève la pause-Olivier
J'aurais aimé prendre plus de temps, mais avec les 220 commentaires du dernier billet, je me suis senti un peu obligé d'écourter mon absence... :-) Alors avec deux nuits presque blanches, je ne m'en suis pas trop mal sorti.
Dotclear, ce n'est pas si compliqué que ça. Même moi, je m'en suis sorti.
Les développeurs ont mis en ligne une documentation très complète et très facile d'accès.
Je sais, Olivier ; tu seras comme Aznavour : tu vas nous seriner de beaux textes durant 50 ans encore et alors tu vas commencer, et recommencer les tournées d'adieu, au moins jusqu'à 99 ans. Plaisir assuré pour moi jusqu'à ma mort, au moins ;o)
Quant à DotClear, j'avais effectivement exploré la plate-forme il y a plusieurs semaines quand j'avais eu des problèmes avec Blogger. J'avais peut-être même ouvert un compte (je ne me souviens plus) ; mais je voulais apprendre à maîtriser un peu plus les détails de mises en page, la création de liens, etc., avant de passer à une autre plate-forme. Mais je m'aperçois que je n'ai pratiquement rien appris de neuf sur le sujet depuis quelques semaines...
Brigetoun, j'aime votre blogue comme il est : déjà vous avez beaucoup appris ces derniers mois, en terme de mise en page. Et, sans être narcissique, comment ne l'aimerais-je pas : le fond ressemble au mien ;o) Seul les textes et les images diffèrent ;o) Et vous avez l'avantage de publier vos propres photos, ce que je ne fais pas encore puisque je n'aipas d'appareil.
Nana Mouskouri est en pleine tournée d'adieux...
Ce mufle de Guy A. Lepage qui rappelle à tout le monde qu'elle a 71 ans et qu'elle a connu la guerre. :-/
Charles Aznavour a 80 ans ou plus et cependant le mufle n'aurait certainement pas eu à son égard le mépris facile qu'il ose se permettre avec Nana Mouskouri. Je n'ai pas vu l'émission, que je ne regarde plus, parce que pour deux minutes intéressantes parfois, il faut en subir de nombreuses autres. Je ne me souviens pas m'être senti plus intelligent, enrichi, ou plus joyeux après avoir regardé un épisode de cette émission.
Je me laisse parfois aller à écouter quelques minutes de l'émission d'Ardisson parce que mon téléviseur est pratiquement toujours à TV5, mais comme il crie plus souvent qu'il ne parle, je ne peux pas le subir longtemps.
oui Alcib, pour le fond c'est la raison pour laquelle je me refuse à ce que vous changiez
Merci Brigetoun. À très bientôt ;o)
Je ne regarde jamais Ardisson ou Lepage. Je n'aime pas ce ton.
Je suis tombé par hasard sur lepage, au moment où il disait, "vous avez 71 ans", en même temps que le caméraman faisait un gros plan peu flatteur...
C'était la seule minute où j'ai regardé. La dernière, je pense.
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