Hier, je suis allé rejoindre l'un de mes frères à la sortie d'une station de métro. En sortant, je suis tombé sur ce massif de fleurs et je n'ai pu m'empêcher d'en prendre quelques photos.
En partant de chez moi, il faisait très beau, ainsi qu'en sortant du métro. Quelques minutes plus tard, le vent qui n'a pas beaucoup cessé de souffler ce dimanche, avait repris et malmenait ces fleurs.
Je ne crois pas que ce soit dû à la force du vent ni aux rigueurs d'un automne précoce, mais certains arbres avaient déjà perdu leurs feuilles. C'est vrai que chez les humains aussi, on voit souvent des calvities précoces.
En route vers Terrebonne, où j'allais manger au restaurant avec quelques membres de ma famille (nous étions 22), le ciel était devenu plus menaçant...
... et le vent, plus violent.
Si, dans les aéroports les gros porteurs continuaient d'arriver et de décoller, les petits avions étaient cloués au sol ; c'est encore heureux que le vent n'ait pas essayé de s'amuser à les faire voler sans pilote et sans moteur.
Heureusement, en arrivant au restaurant, l'ambiance était à la fête ; on a vite oublié qu'à l'extérieur le vent était menaçant et que quelques centaines de mille concitoyens étaient privés d'électricité.
En partant de chez moi, il faisait très beau, ainsi qu'en sortant du métro. Quelques minutes plus tard, le vent qui n'a pas beaucoup cessé de souffler ce dimanche, avait repris et malmenait ces fleurs.
Je ne crois pas que ce soit dû à la force du vent ni aux rigueurs d'un automne précoce, mais certains arbres avaient déjà perdu leurs feuilles. C'est vrai que chez les humains aussi, on voit souvent des calvities précoces.
En route vers Terrebonne, où j'allais manger au restaurant avec quelques membres de ma famille (nous étions 22), le ciel était devenu plus menaçant...
... et le vent, plus violent.
Si, dans les aéroports les gros porteurs continuaient d'arriver et de décoller, les petits avions étaient cloués au sol ; c'est encore heureux que le vent n'ait pas essayé de s'amuser à les faire voler sans pilote et sans moteur.
Heureusement, en arrivant au restaurant, l'ambiance était à la fête ; on a vite oublié qu'à l'extérieur le vent était menaçant et que quelques centaines de mille concitoyens étaient privés d'électricité.
10 commentaires:
Oui, quel vent!!!
Tous mes tournesols géants du chalet du bonheur étaient têtes par terre, plusieurs ont cassé... Mais quelques uns se sont relevés fièrement, aidé par un petit ruban que je leur ai attaché à la tige, comme une petite cravate...
Ah Joss, même tes tournesols doivent apprécier ta présence et ton attention affectueuse ;o)
Et même si tu ne portes pas de cravate, je suis persuadé que tes tournesols étaient ravis d'en porter une pour se faire plus beaux encore pour toi ;o)
Personnellement, je n'ai pas souffert du vent, mais plusieurs personnes que jeconnais ont été privés d'électricité durant plusieurs heures.
Décidément, ce n'est pas une bonne idée de venir s'installer dans VOTRE Laval!
Ah, mais Les Pitous, il ne vente pas tous les jours !
Quant à Laval, je ne vous inciterais pas nécessairement à vous y installer non plus. Si importante soit-elle, Laval reste pour moi une ville de banlieue. Pourquoi vivre en banlieue d'une ville intéressante au lieu de vivre dans la vraie ville ? ;o)
Cela dit, j'espère que vous trouverez vite une autre ville qui vous convienne hors de la Pichardie ;o)
Toujours est-il ques les photos sont magnifiques...
Merci, Narriman ; c'est trop gentil ;o) Et cette installation en Québéquie, comme diraient les Pitous ? Ça va ? Vous ne regrettez pas encore ?
Tu as bien fait de prendre les photos du parterre de fleurs, c'est vraiment joli !
Non on ne regrette pas du tout... ;-)
bonjour à toi.
et sourire en passant.
:)
Merci, Valérie. Moi qui ne regarde pourtant pas beaucoup la télé, j'envie votre nouveau téléviseur ;o)
Narriman, j'espère que vous penserez de même au cours de l'hiver ;o)
Feuille, bonjour à toi. Je vais aller faire un saut chez toi, tiens ! Il y a longtemps...
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