J'aurais aimé commencer cette histoire à la façon des contes de fées. J'aurais aimé dire :
« Il était une fois un petit prince qui habitait une planète à peine plus grande que lui, et qui avait besoin d'un ami... » Pour ceux qui comprennent la vie, ça aurait eu l'air beaucoup plus vrai.
... J'éprouve tant de chagrin à raconter ces souvenirs. Il y a... un mois...
« Il était une fois un petit prince qui habitait une planète à peine plus grande que lui, et qui avait besoin d'un ami... » Pour ceux qui comprennent la vie, ça aurait eu l'air beaucoup plus vrai.
... J'éprouve tant de chagrin à raconter ces souvenirs. Il y a... un mois...
Il y a un mois qu'Alexander est reparti. C'est comme si c'était hier et c'est comme si cela faisait une éternité. Son absence n'est pas plus facile à vivre aujourd'hui qu'elle l'était hier.
Hier et avant-hier, la pleine lune était magnifique, comme si elle s'était faite belle pour dire à Alexander qu'il est le bienvenu dans le ciel, lui qui depuis un mois s'est installé dans le voisinage de celle qu'il a toujours considérée comme notre amie. J'aurais voulu prendre des photos car le spectacle était impressionnant ; mais mon appareil photo est bloqué depuis mercredi et je n'arrive pas à l'ouvrir. Vous pouvez voir une belle photo chez RPL.
7 commentaires:
Un mois....
Un jour, une semaine, un mois, un an... quand il nous manque une partie de nous, le temps n'y changera jamais rien.
Je t'embrasse.
Amitié.
C'est vrai que la lune est belle ces jours-ci. Juste un petit mot pour te dire que je te suis, en silence.
Béo : Eh oui ! Et je n'y crois toujours pas !
Dr CaSo : Je suis tout à fait d'accord avec toi. Je t'embrasse aussi. Câlin aux coquines.
Mathieu : Je suis content d'avoir ce blogue.
Pierre-Yves : Samedi soir encore, avec Erwan, l'ami breton-parisien, nous avons pu l'admirer de différents endroits de Montréal ; il en a fait des photos (avec un très bon appareil). Sur l'écran, ces photos semblaient très belles. Ce dimanche soir, hélas, la lune semble cachée par les nuages.
Merci de ta fidélité et de ta présence ; je te suivais aussi en silence ces derniers temps, ajoutant plus récemment mon silence sur le tien.
Tout a été dit avant, et si je connais le chagrin de perdre un être cher, je n'ose imaginer ta souffrance d'avoir perdu un amour.
Le seul réconfort fut de me dire qu'ils vivent dans mon cœur et mes souvenirs.
Courage, je suis sur qu'Alexander souhaite que tu continues à avancer.
Erwan : Merci. J'ai l'impression par moments que je ne pourrais que redire les mêmes mots pour exprimer le chagrin, la douleur. Cependant, tout n'a pas été dit entre Alexander et moi, et ça c'est c'est un des éléments les plus douloureux. En quinze mois, au rythme accéléré de nos communications, on s'est dit beaucoup de choses, mais il en restait encore tellement à dire !
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