samedi 25 mars 2006
Souvenir de Liège
La jolie flamme de ce pékêt à la violette rappelle que l'alcool est comme la passion, un puissant combustible, et qu'il aime la réciprocité : vous le consommez, il vous consume.
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4 commentaires:
Ce que je préfère, quand on m'apporte des crèmes au grand marnier ou au rhum, c'est le moment où l'on verse l'alcool en feu dans mon assiette... :-)
Hmmm le pékêt...
Souvenirs...
Merci :-)
Quelle belle photo... Et quelle belle analogie... Je prends des notes...
Je sais pas pourquoi, ta photo me réchauffe en ce matin de pluie...
Oui, Olivier, la flamme est toujours fascinante (pas seulementcelle que l'on éprouve). Tu connais sans doute la réponse de Cocteau à qui on demandait ce qu'il sauverait s'il y avait le feu chez lui ; il avait répondu : « Le feu » ».
Ah, Nicole a aussi des souvenirs de Liège ? J'en ai parfois la nostalgie ; j'aime bien cette ville. Je ne sais pas si j'aimerais y vivre longtemps, mais j'ai aimé mon dernier séjour.
Merci, Joss. L'analogie est de moi, mais pas la photo ; celle-ci est de la Maison du pékêt. Je pense en avoir parlé il y a quelques semaines dansc e blogue, mais je ne me souviens plus exactement (j'en ai peut-être parlé dans un commentaire, chez moi ou ailleurs, car, comme tu le sais, il m'arrive parfois de laisser de longs commentaires ;o). Mais en ce moment, Blogger refuse de me laisser consulter mes archives :O(((
Oui, une flamme, si petite soit-elle, réchauffe le coeur en ce samedi gris après les belles journées ensoleillées et chaudes que nous avons eues...
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