Bien avant l'invention de réseaux comme celui de Facebook, auquel j'ai toujours refusé d'adhérer parce qu'il constitue une menace à la vie privée et une atteinte aux droits individuels, j'ai eu le plaisir d'appartenir à une communauté virtuelle qui ma permis de me faire de nombreux amis un peu partout, mais surtout en Europe et en France. Parmi les amis français, il y en a à Paris, dans les Yvelines, en Provence, en Normandie et, bien entendu, en Bretagne... L'un de mes grands regrets, c'est de ne pas être allé en Bretagne, mais je me promets de combler cette lacune avant de mourir (ce n'est pas que je sois pressé, mais il m'arrive d'y penser un peu tout de même, ne serait-ce que pour m'aider à établir des priorités).
Quand je pense à la Bretagne, je pense bien sûr à mon ami André, chez qui j'ai eu ma chambre à Paris, qui était originaire de Chateaubriand. Je pense à l'ami Didier, grâce à qui j'ai un peu mieux connu Montmartre mais qui n'oublie pas ses origines bretonnes. Je pense aussi à l'ami Vincent qui vit avec son ami près de Nantes et qui, depuis quelques semaines, est souvent en déplacement en France. Puis il y a l'autre Vincent de Nantes, celui de Complètement à l'Ouest avec qui j'espère bien manger des huîtres un jour prochain et qui, en attendant que je vienne, m'envoie certaines de ses bonnes recettes.
Et parmi ces amis bretons, il en est un que j'ai vu quelques fois à Paris lors de mon dernier séjour et avec qui j'ai maintenu, par courriel, par correspondance traditionnelle ou par téléphone (la dernière fois que je l'ai appelé, sur son portable, je croyais le surprendre dans un restaurant parisien en train de fêter son anniversaire ; or c'est moi qui ai été le plus surpris : il se trouvait sur une plage... en Espagne). Sur Internet d'abord, il s'est créé entre Erwan et moi une complicité ludique, partagée avec quelques autres cyberamis. Un soir, dans un restaurant du Marais, j'ai eu le bonheur d'être assis à côté d'Erwan alors que je ne m'attendais pas à le voir ce soir-là puisque nous avions convenu de nous rencontrer pour la première fois le lendemain après-midi ; il était venu avec d'autres amis et j'en étais absolument ravi. Un autre soir, nous étions sortis avec Sébastien et quelques autres amis dans les bars sympathiques du Marais et nous étions rentrés au petit matin...
Je n'ai hélas pas de photo d'Erwan (un soir, rue des Lombards, Sébastien avait pris des photos d'Erwan et moi mais la pellicule a été détruite... par accident : Sébastien a ouvert l'appareil avant le que la pellicule ne soit enroulée. Vive l'appareil numérique !) Si j'en mettais une ici, vous tomberiez aussi sous le charme de cet adorable Breton de Paris. Cet Erwan étant le premier que j'aie connu, je suis porté à penser que tous ceux qui portent ce prénom sont beaux, intelligents, amusants, attentionnés, etc. C'est ce que j'écrivais récemment à cet autre Erwan qui depuis quelques mois laisse parfois un commentaire sur ce blogue, mais que je n'ai pas encore rencontré en personne même si ce Breton vit à Montréal. Il y a un peu plus d'un an, l'ami Olivier de Montréal nous avait permis d'entendre sa propre voix dans le cadre d'un entretien radiophonique avec un autre Erwan...
Et parmi ces amis bretons, il en est un que j'ai vu quelques fois à Paris lors de mon dernier séjour et avec qui j'ai maintenu, par courriel, par correspondance traditionnelle ou par téléphone (la dernière fois que je l'ai appelé, sur son portable, je croyais le surprendre dans un restaurant parisien en train de fêter son anniversaire ; or c'est moi qui ai été le plus surpris : il se trouvait sur une plage... en Espagne). Sur Internet d'abord, il s'est créé entre Erwan et moi une complicité ludique, partagée avec quelques autres cyberamis. Un soir, dans un restaurant du Marais, j'ai eu le bonheur d'être assis à côté d'Erwan alors que je ne m'attendais pas à le voir ce soir-là puisque nous avions convenu de nous rencontrer pour la première fois le lendemain après-midi ; il était venu avec d'autres amis et j'en étais absolument ravi. Un autre soir, nous étions sortis avec Sébastien et quelques autres amis dans les bars sympathiques du Marais et nous étions rentrés au petit matin...
Je n'ai hélas pas de photo d'Erwan (un soir, rue des Lombards, Sébastien avait pris des photos d'Erwan et moi mais la pellicule a été détruite... par accident : Sébastien a ouvert l'appareil avant le que la pellicule ne soit enroulée. Vive l'appareil numérique !) Si j'en mettais une ici, vous tomberiez aussi sous le charme de cet adorable Breton de Paris. Cet Erwan étant le premier que j'aie connu, je suis porté à penser que tous ceux qui portent ce prénom sont beaux, intelligents, amusants, attentionnés, etc. C'est ce que j'écrivais récemment à cet autre Erwan qui depuis quelques mois laisse parfois un commentaire sur ce blogue, mais que je n'ai pas encore rencontré en personne même si ce Breton vit à Montréal. Il y a un peu plus d'un an, l'ami Olivier de Montréal nous avait permis d'entendre sa propre voix dans le cadre d'un entretien radiophonique avec un autre Erwan...
L'image n'est pas bretonne, mais l'expéditeur est
un véritable Breton bien adapté à la vie parisienne
un véritable Breton bien adapté à la vie parisienne
Si j'écris ce billet ce soir, c'est qu'en deux jours, j'ai reçu des messages provenant de trois différentes personnes dont le prénom est Erwan ; l'un d'entre eux a un certain rapport avec le sujet de l'un des billets précédents mais ses communications n'étaient pas motivées par l'un ou l'autre de ces billets... Le plus récent message reçu est cette carte postale que m'a adressée le bel Erwan de Paris. Nous avions un peu négligé les communications depuis un bon moment et voilà que, transmission de pensée, je reçois aujourd'hui même quelques lignes affectueuses de mon Erwan préféré, dont voici les derniers mots :
Bloavezh mat 2008, cher Erwan et tous les amis bretons ! Kenavo.
8 commentaires:
en tata de descendants de la quintessence de la noblesse bretonne, je signale que qui s'attendrait à de tels costumes même pour les gars de notre Cornouaille ou des monts d(Aré serait déçu - sourire
Ah, je crois qu'on parle de moi un peu ici ;-)
La Bretagne, c'est vrai que c'est chouette. Il y a tant de paysages, mais je suis toujours nostalgique des tempêtes, avec les vagues qui s'écrasent sur les falaises, ou le vent qui souffle dans la cheminée en pierre...
Il y a bien sur la côte de Granit Rose, qui est superbe (et le château de Costaeres...), et tellement d'autres endroits.
Malheureusement les paysans de par chez moi sont souvent abrutis, et détruisent la beauté pour quelques hectares de plus.
Et pour les Erwan... je n'en connais que 3 (dont moi), mais je considère les deux autres comme des amis. Donc sympathiques... sans doute :)
Erwan, nostalgique des tempêtes, tu serais un « vrai » Breton ;o)
Et, comme le René de Chateaubriand, enclin au « vague des passions » ? ;o)
Trugarez dit, Alcib. Kenavo ar c'hentañ !
Visant
Demat dit, Visant (intéressant d'apprendre que Vincent se dit « Visant » en breton ;o). Mont a ra mat? Trugarez dit... pour la précision : Kenavo s'emploie rarement seul, apprends-je : il est plus correct de dire, comme tu le fais : Kenavo ar c'hentañ !
Hum, pour ma part, je ne pourrai faire de commentaire en breton, ne maitrisant point cette langue.
Un grand merci pour ta petite carte en retour et surtout pris de court par ce billet...
Des bisous de Paris donc...
'Wan
un bonjour breton, d'une lorraine exilée depuis 20 ans près de lorient!
kénavo!!
catherine
Mr Alcib,
Je t'ai envoye un petit mail il y a qques jours pour te prevenir de mon arrivee quasi imminente dans le beau pays de la crisse de neige.
Il a du tomber dans la boite a spams je suppose.
Fais moi signe donc, mon tel n'a pas change.
Bizzz,
'Wan
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