Qui peut dire qui est cet homme ?
Je parlerai de lui dans un prochain billet
On le voit ici chez Chateaubriand, dans la tour Velléda ; le docteur Savoureux, alors propriétaire de la Vallée-aux-Loups, soignait notre écrivain du jour et avait invité celui-ci à venir.
Ajout : Il s'agit d'un écrivain (certains diraient qu'il est d'abord un personnage), français, né en 1872 et mort en 1956. Il a écrit : « Les qualités sont du domaine de tout le monde. Les vices seuls marquent la personnalité. »
Autres citations : « La solitude conserve neuf » et « Chaque fois qu'une maîtresse me quitte, j'adopte un chat de gouttière : une bête s'en va, une autre arrive » ; puis : « Le papier et la femme sont deux choses blanches qui souffrent tout ». Écrivain jusqu'au bout des ongles !
17 commentaires:
Pfiouuu j'ai besoin d'un indice moi !
C'est un canadien ou un francais??
Bonjour Timy. Je donne quelques indices, que j'ajoute sous ses images.
Jouhandeau et là je ne pense pas me tromper
Merci, Brigetoun ; c'est assez près, mais pas tout à fait. Disons que Jouhandeau et notre écrivain du jour ont quelques points en communs, ne serait-ce que la singularité de leur oeuvre. Je me proposais de parler bientôt de Jouhandeau ; dans quelques jours, probablement. Je me rends compte que mes idées de billets s'accumulent et que je pourrai pas tout écrire ; il faudrait que je m'y mette à temps plein. Et il faudra que je fasse des choix et « choisir, c'est exclure », a écrit Gide...
Un indice pour cet écrivain ; ses initiales : P. L. Né à Paris, il est mort à Fontenay-aux-Roses.
Alors que Jouhandeau est né à Guéret et mort à Rueil-Malmaison.
Non.
Paul Léautaud - La vallée aux loups - vers 1954 (pour la deuxième photo)
Pour la première, elle se situe peut-être à Fontenay aux roses ... (entratiens avec Robert Mallet ?)
c'est vrais que je suis sotte Léautaud. Et je le préfère (correspondance)
Nous avons reçu une bonne réponse, détaillée, de la part d'Inocybe ; félicitations !
Pour permettre à d'autres de participer, j'attendrai un peu avant de publier la réponse d'Inocybe. Il est bien possible en effet que la première photo date de l'époque de l'enregistrement des « Entretiens avec Robert Malet ».
J'ai trouvé également, mais par des myens honteux qui me disqualifient d'office (merci Google!) : Léautaud évidemment!
Les bonnes réponses commencent à entrer ; merci Bridgetoun et Les Pitous (même si Google a été utile ;0) Les règlements du concours ne précisaient pas de restrictions dans les outils...
Nul besoin de Google pour la peine, les citations furent suffisantes pour moi. Travail grandement facilité par le fait qu'un cousin a écrit un ouvrage sur lui, je ne vous le conseille pas, il est fastidieux et sans grande qualité, mais famille oblige, je l'ai lu. Dommage d'ailleurs de dédier un si piètre ouvrage à un aussi grand écrivain qu'était Paul Léautaud
Zut, trop tard pour le concours... :)
Amusant comme Blog!
Juste un petit message pour signaler que l'on peut arriver sur ton Blog par le biais de ton adresse que tu laisses telle une signature (sans que celà soit volontaire), lorsque tu rends visite, ou passes sur d'autres Blogs possedant un logiciel qui "traque" les visiteurs.
Bonjour au Mont Royal;
wouah...bon, la j'dois avouer que si j'avais essayer de chercher je serais partie dans la mauvaise direction...faut dire que j'connais très peu les auteurs du début du siècle dernier....:p
Merci, khoyot (sans majuscule). C'est dommage que l'ouvrage de ton cousin ne soit pas de qualité, car les ouvrages consacrés à Léautaud ne sont pas encore très nombreux. Je crois que son purgatoire sera bientôt moins rigoureux...
teo&leo, tu m'inquiètes (devrais-je écrire : vous m'inquiétez ?) ; Big Brother dévoilerait des renseignements à mon sujet ?
Sois néanmoins le bienvenu ici, puisque tu en as trouvé le chemin.
Many, je sais qu'il est difficile de tout connaître ; surtout qu'en ce moment, ton esprit es assez occupé à autre chose... Je devais avoir ton âge quand j'ai découvert Léautaud, tout à fait par hasard ; je raconterai bientôt.
et merci de rappeler les entretiens avec Robert Mallet. Un grand moment. En fait il m'attendrit
Enregistrer un commentaire