Parti à la recherche de la sérénité perdue, je l'ai presque retrouvée dans les poèmes d'Yves Bonnefoy, de René Char, dans des textes de Pascal Quignard, de Rainer-Maria Rilke, dont cette collègue nous présente des extraits, en plus de ses prores photos.
jeudi 26 janvier 2006
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
6 commentaires:
Poursuis cette quête de la sénérité par de bonnes lectures
amicalement
Chaque homme
En ce qui me concerne certaines activités me donnent une sérénité sans égal: peinture, chant, méditation et lecture.
Merci infiniment pour votre visite et cette citation. Puisse mes quelques motes et photos apporter à quelques uns ces plaisirs infimes qui font la saveur de la vie. Je suis un peu en "panne" d'écriture ces temps-ci, un commentaire comme le votre me dynamise et m'éclaire. N'hésitez pas à butiner chez moi. A bientot !
Anne cite aussi François Cheng qui est en outre un vieil homme assez merveilleux et un caligraphe inventif (tout en restant marqué à la base par sa tradition) mais je ne sais où on trouve ses livres
En effet, elle cite François Cheng aussi ; je ne connais pas ses livres ; j'ai vu cependant des entrevues télévisées avec lui et, sans pouvoir évaluer ses textes, je peux dire qu'il s'agit d'un homme fascinant. C'est vraiment très impressionnant aussi de voir ses oeuvres graphiques... Toute cette créativité lui viendrait-elle du thé vert qu'il boit toute la journée ? ;o))
La FNAC et Amazone annoncent ses livres ; votre libraire d'Avignon n'en auraient pas sur ses rayons. Je sais que vous n'aimez pas les livres empruntés, mais la bibliothèque pourrait vous permettre d'évaluer lequel de ses livres vous souhaiteriez pouvoir commander...
Anne : Merci de l'invitation à revenir chez vous.
Lancelot : oui, en effet, tout exercice de la créativité est en soi une merveilleuse thérapie, ou tout au moins un exutoire au vague à l'âme... à condition que le blocage ne soit pas assez fort pour empêcher même d'amorcer une activité créative...
Je suis tout à fait d'accord, Chaque homme ; Montesquieu l'a bien dit : « L'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté. »
Mais d'autres ont dit aussi : « Les livres sont plaisans ; mais, si de leur frequentation nous en perdons en fin la gayeté et la santé, nos meilleures pieces, quittons les. » (Montaigne) et « Il faut que l'esprit séjourne dans une lecture pour bien connaître un auteur. » (Joseph Joubert) et enfin, « Ces heures où l'on a envie de lire quelque chose d'absolument beau. Le regard fait le tour de la bibliothèque, et il n'y a rien. Puis, on se décide à prendre n'importe quel livre, et c'est plein de belles choses. » (Jules Renard)
Enregistrer un commentaire